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- - Day 12.2 - RTT(NT)
- - Day 12.3 - Service minimum
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- - Day 14.6 - D.N.3,14
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- - Day 18.4 - Point scores
- - Day 18.5 - Point scores
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- - Day 22.1 - Who ya gonna call ?
- - Day 22.2 - De deux heures moins deux à deux heures deux...
- - Day 22.5 - Retour à la normale
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- - Day 24.3 . dnp again
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- - Day 24.6 - Tell me why...
- - Day 24.7 Le fin du fin , non! La fin de la fin plutôt.
- - Day 3.1 - L'irresistible ascension des Boobs
- - Day 3.2 - Les Boobs en champions
- - Day 3.3 - Les Boobs plus forts que la malédiction
- - Day 3.4 - Les Boobs contre Fantomas
- - Day 3.5 - Boobs & Boobser
- - Day 3.6 - Défonce moi dans l'arrière Boobstique
- - Day 4.1/2 - Pas de lumière au Boobs du tunnel
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- - Day 4.4
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Point score en chansons Dimanche 12-12 - par
SirAlex
E.E. (557.45 pts, 39.82 avg, 2 games left) --vs-- SPITS (800.90 pts, 61.61 avg, 3 games left)
Verdict : "We're the Kids, We're the Kids" of the Baraka, really ?
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KFC (849.60 pts, 56.64 avg, 1game left) --vs-- FotBR (680.80 pts, 56.73 avg, 4 games left)
Verdict : "And it's an eye for an eye, a tooth for a tooth"... Difficile de prévoir le vainqueur, avec en prime le Truel pour le podium points...
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GPL (401.50 pts, 40.15 avg, 4 games left + KSG) --vs-- ABC (653.10 pts, 50.24 avg, 3 games left )
Verdict : "It's just as easy as fallin' off a log, Everybody doin' the chicken dog" Easy as fallin' off a log, la victoire va tomber côté alphabet !
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Challenge : KFC : 40 Rest of the pack : Game Over !
Most Points Gold : KFC
Most Points Silver : SPITS
Most Points Bronze : FotBR
Le Monde magique de Nickey - par
SQL
Que les tenants du politiquement correct se rassurent, je ne reproduirai point la faute de goût de l'an passé qui m'avait conduit, à l'occasion du Téléthon, à comparer défavorablement nos joueurs aux démonstrations d'humour noir de la génétique qui envahissent nos écrans à cette occasion.
Tout d'abord, puisque qu'ayant juré cette saison d'éviter de me rabattre sur mes thèmes de prédilection que sont les métaphores maritimes et dipsomanes et les petits mongoliens qui bavent à chaque panne d'inspiration, ce serait sombrer dans la facilité.
Mais surtout parce que la fréquentation régulière des personnes "à besoins particuliers" qui composent la majeure partie de mon effectif m'a conduit à abandonner le regard cynique que je portais sur la question pour une approche que nous qualifierons pudiquement de plus eugéniste (get me my fucking gun, now !!!).
Confronté donc, au dilemme d'avoir à choisir un thème pour ma chronique de ce jour, j'ai décidé de profiter de l'occasion pour célébrer ma réconciliation avec Walt Disney (conclue à la suite d'une excellente séance de Raiponce ce Week End) en lui dédiant ce résumé.
Dans la pratique, chaque équipe sera associée à un des grands classiques du studio, dont le thème et les péripéties serviront d'illustration au déroulement de sa semaine.
GPL vs E.E.
Après avoir longtemps planché sur une adaptation de Chicken Run où les volailles ne seraient parvenues à quitter la ferme que pour finir broyées par un convoi exceptionnel en tentant de traverser la nationale, il m'a fallu réviser mes plans lorsque j'ai réalisé qu'il ne s'agissait malheureusement pas d'une production Disney, ce qui faisait un peu tâche pour ouvrir le bal.
C'est donc à l'immortel Chicken Little que les joueurs de Manu se verront associés, ce qui est somme toute parfaitement logique : un film que personne n'a vu pour une semaine que tout le monde aurait préféré ne pas voir.
De Melo à Hibbert en passant par Lee et Jennings, c'est l'ensemble de l'équipe qui s'est mis en quatre pour nous rappeler que l'ensemble de la filiale avicole repose avant tout sur ce qui sort du cul des poules.
Chez les E.E., c'est sur les rythmes endiablés du Livre de la Jungle que se conclut cette semaine.
Gasol et Horford reprennent à leur compte le rôle de Balloo en démontrant qu'il leur en faut peu pour être heureux (du point de vue statistique en tout cas) tandis que Javale McGee excelle dans une version antarctique de Mowgli (lui, c'est une famille de manchots qui l'a recueilli).
On regrettera simplement que Greg Oden ait du décliner un cameo dans le rôle de Ka, le serpent python pour cause d'agenda débordant (c'est ce qui arrive quand on se fait opérer du genou tous les jours impairs).
SPITS vs FotBR
Les SPITS vous souhaitent la bienvenue au Pays des Merveilles.
A l'instar d'Alice, ils démontrent au passage qu'une chute de plusieurs semaines dans un trou sans fond n'est pas forcément rédhibitoire pour la suite de votre aventure. Les statistiques de Kevin Love qui ont légèrement triplé de volume ces derniers temps semblent avoir bénéficié d'un effet "Mange-moi" des plus efficace et si Rajon Rondo s'amuse à disparaître de temps à autre tel un lapin blanc, cela n'empêche en rien l'équipe de Sir Alex de faire subir à son adversaire le traitement habituellement réservé par la reine de cœur aux jardiniers maladroits.
Les FotBr nous livrent pour leur part une version de la Belle et la Bête où la première n'aurait pas dépassé le stade du hors d'oeuvre et la seconde fait des petits.
Ce ne sont en effet pas les bestiaux qui manquent dans l'effectif des anneaux battus (une version occitane des ânes bâtés) : qu'il s'agisse d'ailleurs de monstres d'efficacité (tel Amare Stoudemire), ou de simples gnomes contrefaits et malodorants (tels John Wall).
A noter également l'exceptionnelle performance de Gerald Wallace dans le rôle du chandelier parlant (Tous ceux qui ont déjà vu un chandelier jouer au basket ne pourront qu'opiner…).
KFC vs ABC
Si l'histoire de pantins mettant un point d'honneur à empiler les mauvaises décisions sur les choix désastreux ne vous dit rien, c'est qu'il est temps pour vous de vous replonger dans Pinocchio.
C'est ce qu'ont du faire Joakim Noah et Derrick Rose dont les mains et les performances étaient taillées cette semaine dans un bois dont on fait habituellement les pals.
Malgré l'intervention tardive de la Fée Wade, qui est tout de même parvenue à transformer ses coéquipiers en vrais petits garçons, les joueurs de Gepetto on the Beach n'ont pas réussi à triompher d'un adversaire qui n'avait pourtant rien d'un léviathan.
Il faut dire que ce n'est peut-être pas en jouant comme des petits garçons qu'on se donne les meilleures chances de succès en matière de Rôtisserie.
Je ne m'avancerai pas jusqu'à dire qu'Alès et Aladin possèdent une racine étymologique commune, mais ce qui est certain c'est que les deux ont la chance de disposer de la présence d'un authentique génie dans leur environnement immédiat.
En déballant le strict minimum pour s'imposer après son outrancière domination de la première période, Johann parvient à détourner l'attention du Karma sur la concurrence, se payant même le luxe d'un DNP de façade, manière de faire comme le commun des mortels.
Il n'en reste pas moins que grâce à sa lampe magique spécial challenge, il creuse encore l'écart en tête du classement.
Closing Five
1. The Kodak Moment :
Du retour triomphant de Lebron à Cleveland, en passant par la renaissance de Bogut à face Orlando ou les explosions offensives de Westbrook contre New Jersey et Curry face à OKC, je ne m'étais pas rendu compte qu'il s'était passé autant de trucs passionnants cette semaine…
2. Le Challenge Domenech :
Après une semaine qui aurait pu le conduire au sommet du podium et de la ligue si seulement il n'avait pas eu l'idée saugrenue de bouder les meilleures sorties de ses joueurs, le Raymond de plomb est décerné à l'unanimité au GM des KFC.
Michel regrette d'ailleurs de ne pas pouvoir être présent pour récupérer lui-même son trophée, mais il est actuellement en vacances au club méditerranée de Pyongyang.
3. Cogito Urgo Sum :
Le sparadrap de la semaine revient à Kevin Love et son arrachement des ligaments du genou qui risque de s'avérer fort handicapant pour les SPITS.
(Bon j'avoue : il n'est pas blessé du tout, mais je me dis que peut-être qu'Alex aura la flemme de vérifier et préfèrera ne pas le titulariser contre moi…)
4. Bienvenue au club :
A Johann qui a enfin décroché son premier DNP de la saison. On n'y croyait plus, mais on espère bien qu'il ne va pas s'arrêter en si bon chemin.
Allez Russell, paie la tienne !
5.Ils nous ont quitté :
Nos pensées les plus sincères vont aux familles de Joakim Noah et Derrick Rose.
Pour être honnête, Carlos Boozer aurait peut-être pu leur laisser le temps de décéder avant procéder à leur inhumation…
He's in Fuego !!! - par
SQL
Proust peut garder sa madeleine et Du Bellay son petit liré, ma nostalgie à moi carbure à coups de gros pixels.
Fervent adepte du joystick dans mes années formatives et abstinent depuis maintenant plusieurs années, mes références en la matière font de moi une sorte de père Fourras du jeu vidéo. Un vieux schnock dont les "C'était mieux avant" ou "Dans mon temps on avait pas besoin d'un milliard et demi de polygones texturés pour se tripoter sur Lara Croft" font de lui le genre de personne que vous rêvez d'avoir à dîner tous les samedis soirs.
Indécrottablement englué dans les années 80 et 90, je ne repique au truc que pour retrouver avec délices mes maîtresses d'antan. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'émulateur Atari ST est le seul programme qui soit installé sur TOUTES mes machines, y compris celles réservées en principe à une usage professionnel.
Si j'apprécie donc de me réchauffer au feu de mes flammes de jeunesse, il est parmi elles une catégorie plus particulièrement chère à mon coeur : celles des jeux qui ont bien failli mettre un terme prématuré à mon parcours scolaire, voire professionnel.
J'ai ainsi coutume de dire que si mon diplôme du bac fut arraché aux griffes de Dungeon Master et mon CRPE obtenu en dépit de l'offensive concertée de Resident Evil et Final Fantasy VII, la plus grande menace que connut jamais mon cursus estudiantin fut celle que fit planer une certaine borne d'arcade sur mes humanités.
Pour aller à l'essentiel, contentons nous d'affirmer que si l'UFR de lettres d'Avignon avait proposé en son temps une option Boom-Shakalaka, j'en serais sans aucun doute sorti Docteur Honoris Causa Summa Cum Laude .
Mon premier amour...
Ah NBA JAM, le jeu qui a bien failli transformer ma licence de lettres en licence 4, car contrairement aux exemples cités plus haut, uniquement accessible depuis ces lieux de perdition qu'on appelait jadis les salles d'arcade et les PMU. Si j'avais su au moment de mon entrée en fac que le destin farceur allait intercaler entre mon appartement et l'université, un aimant à crétin qui allait me couter en temps et en espèces sonnantes et trébuchantes de quoi boucler trois thèses de doctorat, j'aurai sprobablement renoncé aux études et consacré l'argent des frais d'inscription à financer ma pitoyable tentative de remplir le tableau des high scores avec mes initiales.
Et la première dose n'était même pas gratuite...
Voila donc une introduction bien longue pour signaler le retour sur les écrans de ce grand classique du jeu de basket déjanté qu'est NBA JAM. Dans l'impossibilité quasi physique de passer à côté d'un tel évènement, j'ai balayé les deux centimètres de poussière qui tiennent la Wii au chaud depuis le déménagement et je me suis lancé dans une étude comparée des mérites de la nouvelle version.
Les premières impressions apparaissent plutôt positives pour le grand réformateur que je suis : l'aspect du jeu n'a guère évolué depuis les temps héroïques. Les limitations techniques dues la console ayant probablement limité les ambitions des graphistes et les outrages du temps patiné mon souvenir de la version originale.
Le passage à la 3D qui m'est habituellement un repoussoir s'est fait en respectant l'esprit du jeu et globalement l'ambiance s'approche au plus près de ce qui faisait le charme de l'ancienne mouture, l'animation ayant même conservé une partie de sa nervosité caractéristique.
Même si le physique des personnages est fidèlement rendu grâce à l'usage de photos numérisées pour les textures, le rendu général est suffisamment caricatural pour qu'on échappe au final à l'ambition du photoréalisme qui plombe habituellement les simulation sportives, ce qui est un soulagement de taille.
Là, ils poussent le bouchon un peu loin... On n'a jamais vu Luol Deng jouer aussi longtemps sans se blesser.
S'ils ne sont esthétiques, les ajouts de l'itération 2010 sont donc ciblés sur la multiplication des modes de jeux (même si au final il s'agit toujours plus ou moins de mettre la balle dans le panier de la manière la plus ahurissante possible) et surtout au niveau du cheptel proposé. Là où la version originale n'alignait qu'un seul duo par franchise, nous disposons désormais d'une sélection bien plus vaste, chaque équipe proposant un éventail de trois à 6 joueurs (ce qui a obligé Toronto et Charlotte à emprunter des joueurs à la D-League).
Chaque joueur est défini par toute une série de caractéristiques supposées encadrer son registre de jeu et dont je suppose que l'influence doit être plus marquée dans les niveaux de difficultés les plus élevés, car en dehors de la vitesse de déplacement, les possibilités des différents joueurs me sont pour le moment apparues comme plus ou moins équivalentes (Je tourne entre 20 et 35 blocks par match avec Paul Pierce qui n'est pourtant pas sensé être un cador de la spécialité).
Du point de vue du gameplay, difficile de dire si c'est la difficulté du jeu qui a été revue à la hausse ou le déclin de mes connexions synaptiques qui s'est considérablement accéléré, toujours est-il que je peine réellement à suivre le rythme au niveau de difficulté de base. De plus, toutes mes tentatives d'utiliser le duo nunchuk-wiimote s'étant soldées par un pitoyable imitation de Mamoud Abdul-Rauf (seul basketteur professionnel affecté de troubles psycho-moteurs compulsifs) j'ai du me rabattre sur l'utilisation de la manette seule, et c'est peu de dire que l'instrument propose une ergonomie digne des poucettes chère à l'inquisition.
La Wiimote : ce sont les ostéopathes qui lui disent merci.
C'est donc contraint et forcé de me rabattre sur le mode débutant et les phalanges martyrisées par la manette que j'ai effectué mes premiers pas dans le jeu.
Premier constat, la baisse de la difficulté affadit considérablement l'expérience. L'ajustement s'effectue en effet strictement au niveau de l'IA et des adversaires qui tournent à 100 % ou presque à trois points et au dunk se contentent de déclencher jump shot après jump shot à mi distance, ne daignant passer à l'agression que lorsque le score devient par trop déséquilibré.
Deuxième constat découlant plus ou moins directement du premier, le contre est devenu l'arme absolue en défense, le CPU ne manquant aucun shoot ou presque le seul moyen de stopper ses assauts est de les renvoyer par wagons entiers dans les tribunes, chose qu'il est désormais beaucoup plus facile d'accomplir que par le passé. La plupart des oppositions voient d'ailleurs plus de contres que de paniers inscrits.
Sucre ou Nutella pour Kobe ?
Au final, mon regard est sans doute biaisé par les souvenirs fiévreux de ces soirées du temps jadis où le succès de mon équipe impactait directement l'état de mes finances (on peut dire que si je récupérais d'un coup tout le fric englouti dans la borne d'arcade originelle j'aurais probablement de quoi partir en croisière pour Noël) mais j'ai quelque peu peiné à retrouver l'exaltation d'origine.
Le côté vaguement répétitif de l'action se fait rapidement sentir et le degré de spécialisation des joueurs n'est pas assez prononcé à mon goût. De plus, même si les commandes sont simples, on a parfois l'impression que c'est le joueur qui a le fin mot en matière de décision, en décidant plus souvent qu'à son tour ,d'avorter d'un hook shot anémique là où on ambitionnait de claquer un dunk mémorable. L'adresse à mi distance se fonde également sur des critères qui à l'heure actuelle continue à me snober souverainement.
Reste que c'est indubitablement à plusieurs que ce genre de produit prend toute son envergure et que de ce point de vue, la décision de ne point implémenter de Mode Online me rappelle quelque peu la pertinence de mon premier choix de draft.
C'est donc avec l'impression un rien mitigée d'avoir passé trois heures à m'escrimer tout seul sur un des innombrables Party Games de la wWi que je clos momentanément cette rubrique, en attendant d'avoir l'occasion d'expérimenter la chose en multijoueur.
Boom -Shakalaka.
Expédition des affaires courantes - par
SQL
Mes talents naturels me poussant plutôt vers le comique de corps de garde et n'ayant pour l'art dramatique qu'une inclination des plus modérée, je me trouve fort à la peine depuis quelques semaines lorsqu'arrive le temps de m'attabler à la rédaction du résumé.
C'est pourquoi, plutôt que d'ajouter quelques strophes puisées au sang de mes larmes, à cette longue geste des désillusions qui retrace les exploits de mon équipe, j'ai décidé de consacrer mon temps à une activité plus constructive.
Vous devrez donc vous contenter d'un point score pour aujourd'hui, mais je reviendrais sou peu avec une nouvelle entrée pour la chronique coin culture.
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E.E. (375.05 pts, 46.88 avg, 6 games left + KSG) --vs-- GPL (417.05 pts, 37.91 avg, 5 games left)
Verdict : SQL, finding new ways to lose since 2006.
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SPITS (444.70 pts, 55.59 avg, 7 games left + KSG) --vs-- FotBR (427.50 pts, 47.50 avg, 6 games left)
Verdict : Ou je me trompe ou ça ressemble beaucoup à un transfert de malédiction en règle...
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KFC (360.45 pts, 32.77 avg, 5 games left) --vs-- ABC (396 pts, 36 avg, 5 games left )
Verdict : En matière de duel au sommet, on a connu plus spectaculaire.
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Challenge : ABC : 28 - GPL :27 - KFC :26
Most Points Gold : SPITS
Most Points Silver : FotBR
Most Points Bronze : GPL
Le meilleur du monde, on vous dit ! - par
SQL
S'il est une décision qui, au vu des résultats de cette première période, prend chaque jour un peu plus des allures d'injustice colossale c'est bien celle de n'avoir point saisi l'occasion qui nous était donnée d'introniser le meilleur GM du Monde au panthéon de la Rôtisserie.
Non seulement avons-nous manqué là l'opportunité de reconnaître un authentique génie et de bénéficier des retombées de sa gloire auréolante, mais cela lui aurait peut-être également ôté l'envie de faire de nos équipes l'usage que les bûcherons canadiens appliquent traditionnellement à la feuille de marronnier (dont le toucher satiné n'agresse pas les fessiers déjà maltraités par le gel).
Etant moi même la victime expiatoire désignée pour apaiser le juste courroux de Johann cette semaine, je ne puis que m'incliner devant la supériorité totale d'un adversaire dont les qualités dépassent de si loin les miennes qu'on pourrait presque intercaler les organes génitaux de Greg Oden entre elles.
E.E. vs ABC
Il est difficile de mettre en mots le sentiment de plénitude et de satisfaction que me procure actuellement la domiciliation du premier choix de draft 2010 (et meilleur joueur 2009) au sein de mon effectif.
L'évolution du rapport de Force entre Durant et Westbrook constitue un tel défi à la logique que même ma logorrhée légendaire en vient à me faire défaut ( elle qui tournait pourtant à plein régime lorsqu'il s'agissait de donner des leçons de draft à Johann en début de saison). George Lucas annoncerait un remake de la trilogie Star Wars avec Jar-Jar Binks dans le rôle principal que le renversement de situation n'arriverait pas à la cheville de ce qui est en train de se passer à Oklahoma City.
Si c'était là le seul exemple de la supériorité patente de la stratégie de draft de Johann sur la mienne, de maigres espoirs me seraient encore permis mais le déséquilibre entre l'activité débordante d' Ellis et le somnambulisme de Curry vient encore creuser la différence de niveau, ma capacité inégalée à mettre en exergue le Sink de mes KSG faisant le reste.
Du côté de l'Agence tout-Glisse, rien de nouveau sous le soleil. J'espère seulement que Johann prend soin de mettre entre parenthèse son imitation du roi Midas lorsqu'il se frotte les yeux devant les résultats ébouriffants de ses troupes, faute de quoi il risque fort de se retrouver avec des cornées en plaqué or.
FotBR vs GPL
S'il est relativement fréquent de s'interroger sur l'issue d'une opposition putative entre un objet inamovible et une force irrésistible, la question de l'affrontement d'un objet mobile et d'une force insignifiante avait jusque là échappé à la sagacité de la communauté scientifique. Cet oubli est désormais réparé grâce aux efforts acharnés déployés par Alain et Manu pour se concéder mutuellement la victoire.
Le second opposant aux DNPs du premier, un KSG dont le parfum confirme sans aucun doute possible le diagnostic de gastro-entérite aigüe de Carmelo Anthony.
Si les poules n'ont pas de dents, leurs adversaires en ont et celles qui ont renvoyé David Lee au poulailler depuis 3 semaines pèsent lourd dans le bilan comptable des Gallinacées de la Roto. Son remplaçant ( Bosh) excelle peut-être dans le rôle de Calimero, mais il lui reste encore un long chemin à accomplir avant de rejoindre Blake Griffin et CP3 au rang de poules pondeuses certifiées.
Rien de bien plus réjouissant du côté de la Terre du Milieu où, entre un Brook Lopez dont on a cru un temps qu'il avait été remplacé par son jumeau maléfique avant de regretter qu'il ne le fut pas et un Crash Wallace dont la capacité de rebond s'amenuise un peu plus à chaque défenestration, les membres de la communauté semblent hésiter sur la meilleure manière de transporter l'anneau unique: Après s'y être coincé les deux mains la semaine dernière, voilà qu'ils tentent de se le passer autour du cou...
KFC vs SPITS
Fermement décidé à ne pas laisser s'échapper les leaders de la ligue avant leur rencontre au sommet (le reste de la montagne étant constitué des l'empilement des cadavres des autres équipes) de la semaine prochaine, Les KFC avaient aligné une équipe de gala face aux SPITS.
Las, entre un Lebron plus intéressé par ses plans machiavéliques pour obtenir le licenciement de son coach et un Josh Smith qui convertit les occasions qui lui sont confiées avec l'opportunisme d'un Dagui Bakari de la grande époque, on ne peut pas dire que les joueurs se soient senti réellement concernés par le projet de jeu de leur GM. Heureusement que le presse-livres des Bulls encadre le reste de l'effectif avec une poigne de fer dans un gant d'acier (ou l'inverse).
Dans le coin des SPITS, on est encore sous le choc d'une énième défaite concédée d'un poil de Charlie Villanueva, et si les DNPs sont une fois de plus à blamer, les absents ne sont, pour une fois, pas les seuls à devoir assumer les torts.
Du côté du centre spatial de Houston la mise sur orbite de Scola est un tel succès que son portrait ne devrait pas tarder à remplacer celui de Christa McAuliffe dans les bureaux de la NASA. Il faut dire qu'avec une paire de boosters du calibre d' Al Jefferson et Zach Randolph, ses chances d'atteindre la haute atmosphère étaient compromises dès le départ.
Closing Five
1. The Kodak Moment :
Parfaite illustration du poids démesuré du KSG dans la nouvelle formule (voir Rant N°07), les fortunes de Manu sur match primés sont une nouvelle fois mises en exergue. Suite au passage express de Carmelo sur le terrain (juste le temps de repeindre les lignes jaunes), les GPL ont annoncé l'abandon de leurs activités alimentaires pour se concentrer sur la production industrielle de guano.
2. Le challenge Domenech :
Si mon choix de draft N°1 m'assure sans contestation possible du titre de plus grosses truffe de la saison, le trophée du manager le moins avisé de la semaine ira rejoindre celui de champion 2009-10 sur la cheminée de notre confrère Alain.
En éjectant le volcanique Williams au profit d'un Bogut en pleine crise de Rigor Mortis, le leader de la communauté de l'anneau nous rappelle que Gandalf est le quasi anagramme de Lagaf (ou Lagland, si vous préférez...)
3. Cogito Urgo Sum :
Même si son équipe n'a émis aucun bulletin de santé sur la question, difficile de faire mieux que l'égo-ectomie totale subie par KD cette semaine. A côté de ça, même les chevilles combinées de Rondo et Wall ne peuventt prétendre à mieux qu'un accessit.
4. Bienvenue au club :
A Darko Milicic et Goran Dragic dont l'intégration dans le corps des cadets impériaux me rapproche un peu plus de mon rêve d'aligner un jour une équipe composées uniquement de joueurs en -IC.
Ca me changera des joueurs en -Ouch...
5. Ils nous ont quitté (Merci de ne pas applaudir cette séquence)
C'est avec émotion que nous disons adieu aux espoirs de titre de toutes les équipes dont le nom ne commence pas par ABC. Nous ne nous connûmes que 5 semaines durant (Aaargh) mais vous resterez à tout jamais dans nos coeurs.
Aussi longtemps que l'empreinte du pied de Johann sur nos postérieurs en tout cas...
Reel of Fortune - par
SQL
Sachant par avance que je n'aurai guère de temps à consacrer au résumé de la fin de semaine, et ayant déjà en tête de consacrer celui-ci à une première évaluation du nouveau système de jeu, j'ai décidé de vous livrer dès aujourd'hui mon bilan d'étape sur les fortunes respectives des différentes équipes de la Roto.
A l'instar de la première semaine, les écuries sont classées par ordre d'opulence Karmique, en partant des découverts de milieu de mois pour aller vers les heureux détenteurs d'une carte American Express Platine émise par la Baraka Bank of Fantasy.
The "It only hurts when I laugh (and it's allright, because I spend most of my time crying, these days)" division.
Population : SPITS, E.E.
Que tous ceux qui débattent sans fin pour tenter de déterminer quelle est la meilleure équipe de la ligue, suspendent leur délibérations, nous avons une réponse à leur fournir qui ne saurait souffrir de contestation.
Il n'est point d'effectif supérieur à celui qui peuple le lit de douleur des deux équipes les plus endommagées du championnat.
En recollant les miettes d'abandonnées par les joueurs des SPITS et de l'Empire sur le chemin de l'infirmerie, on aurait largement de quoi constituer un groupe de taille à s'emparer des lauriers de champion pour assaisonner leur ordinaire. Jugez plutôt : Randolph, Collison, Rondo, Green, Gordon, Roy d'un côté et Randolph, Jamison, Durant, Iguodala, Nash, Curry de l'autre.
Les points communs entre les deux équipes ne s'arrêtent pas au seul degré de remplissage de leurs casiers mortuaires, leurs chemins respectifs étant balisés par les lingots d'or que sèment derrière eux leurs Petits Poucets de GMs qui préfèrent visiblement conserver leurs cailloux en poche des fois qu'ils celui qui a élu domicile au fond de leur chaussure viendrait à disparaître.
The "Braaains... Need Braaains (cause my GM left his at home on draft day)..." division.
Population : FotBR
Aux zombies qui ont inspiré le titre du paragraphe qui la concerne, l'équipe d'Alain a emprunté la fluidité et l'élégance dans le jeu ainsi que leur attendrissante obstination à se relever après qu'on les ait débité en quartiers à l'arme lourde.
Bien qu'alignant une moyenne de points à côté de laquelle le QI de Zach Randolph ferait figure d'unité de mesure astronomique, ils affichent le même bilan comptable de 2 victoires et 2 défaites que 75 % du reste de la ligue.
On peut même dire, au vu du début de semaine, qu'un podium de fin de période reste du domaine de l'envisageable, ce qui ne serait rien moins qu'un petit miracle pour une équipe dont les blessés constituent l'atout majeur, du simple fait qu'ils sont encore en vie.
Leur GM en a d'ailleurs fait le coeur de cible de son recrutement en misant sur les convalescents (ou agonisants, c'est selon) Boozer et Bogut (BoBo, c'est un signe, non ?) lors du draft inactif.
The "On, off, on, off, on, off, on, off, o-KZGRRRGJKKHHHHKGZHHH..." division.
Population : GPL
Ca devait arriver, à force de faire joujou avec l'interrupteur, les Gros poulets commencent à sentir le canard grillé...
A l'électro-encéphalogramme plat de leur adversaire de la semaine, les troupes de Manu opposent un parcours dont le profil évoque l'accouplement orgiaque de la fosse des Mariannes et du massif Himalayen.
Tour à tour condor ou canari, nos volatiles préférés ont fait de l'imprévisibilité le seul élément prévisible de leur stratégie et les voilà bien engagés pour se faire tanner le croupion par les rebuts de la ligue, une semaine après en avoir renversé le leader. Ce penchant pour les virages à 180° laisse d'ailleurs entrevoir la raison pour laquelle le coq est l'animal fétiche de fabricants de girouettes.
Réservons toutefois notre jugement car il existe une possibilité non négligeable pour que l'émergence de Chris Bosh, et le naufrage consubstanciel de Dwyane Wade, ne leur ouvrent l'entrée de service du Podium de cette période.
The "Snooze Button, I love you." division.
Population : KFC
La saison des KFC pourrait ressembler à la fable du lièvre et la tortue, si cette dernière avait pris le temps de violer sauvagement le malheureux rongeur pendant sa sieste de mi-parcours avant de filer vers la victoire.
En s'inclinant de la peau des dents face aux FotBR avant d'être balayés par la semaine Marsupilamiesque de Blake Griffin, les joueurs de Michel et Damien ont dilapidé la totalité du capital durement acquis lors du début de saison.
Difficile toutefois de mettre le doigt sur la raison première des difficultés des disciples du colonel Sanders mais s'il fallait désigner un bouc émissaire, mon argent irait sur Dwayne Wade, seul blessé de l'effectif mais qui plombe à lui seul une bonne partie des chances de l'équipe en alignant des performances qui évoquent irrésistiblement la période noyade de la carrière de Jacques Mayol.
Reste qu'en remportant, chaque semaine ou presque, le challenge et la bonification afférente, les KFC s'assurent de manière quasi certaine de figurer dans le top 2 de la première période.
The "Oops ! Looks like I've stepped all over the competition again. Fortunately, it's with my left foot." division.
Population : ABC
J'ai longtemps cherché un support visuel me permettant d'illustrer le degré de réussite rencontré par Johann depuis le début de saison. Et puis je suis tombé sur ça.
Là où le commun des mortels navigue à vue entre les écueils combinés des blessures et des combustions spontanées en plein match, le meilleur GM du monde empile les choix judicieux sur les décisions éclairées parvenant à tirer en ligne droite la route qui conduit vers le titre suprême.
En alignant chaque semaine une brochette de titulaires indiscutables, et dont l'imperméabilité aux aléas physiques accrédite chaque jour un peu plus la thèse de l'existence de Skynet, sur laquelle viennent s'intercaler quelques tranches judicieusement marinées de remplaçants aux petits oignons, Johann a su trouver la recette gagnante de la saison : deux mesures de talents pour un wagon de Moules décoquillées.
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E.E. (329.95 pts, 54.99 avg, 9 games left + KSG) --vs-- ABC (338.25 pts, 48.32 avg, 9 games left)
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GPL (219.75 pts, 36.63 avg, 9 games left + KSG) --vs-- FotBR (331.45 pts, 41.43 avg, 8 games left)
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KFC (413.85 pts, 51.73 avg, 8 games left + KSG) --vs-- SPITS (314.80 pts, 62.96 avg, 9 games left + KSG)
Challenge :
E.E. : 22 - KFC : 17 - ABC : 16
Cocorico ! - par
SQL
Le principal inconvénient à présider aux destinées d'une organisation aussi complexe et prestigieuse que la Rôtisserie ne réside pas, contrairement à ce que beaucoup pourraient penser, dans la masse écrasante de responsabilités qui repose sur vos épaules, ni même dans l'aspect éminemment chronophage de la charge. Non, le principal inconvénient au dur métier de commissionner Rôtisserie, c'est bien d'avoir, après une semaine où votre plan de bataille s'est déroulé un tout petit peu moins bien qu'une kermesse cambodgienne, à revenir en détails sur les raisons de votre misérable échec pour y puiser la matière d'un résumé digne de ce nom.
C'est donc avec l'entrain de celui qui se voit obligé de farfouiller dans ses propres déjections dans l'espoir d'y retrouver un bridge avalé par mégarde, que je me replonge dans les eaux troubles d'une semaine placée sous le signe des sigles de trois lettres : DNP, KSG et en ce qui concerne votre serviteur, DTC (bien profond).
DNP d'abord puisque 75 % des équipes de la ligue ont eu à composer avec les absences plus ou moins prévisibles (et donc plus ou moins bien prévues) d'une partie de leurs effectifs.
KSG ensuite, car le match primé s'est avéré l'élément déterminant dans deux des trois matches de la semaine, assurant la victoire et le podium des GPL et enterrant (bien profond) les espoirs de l'Empire du (KSG) Mal (placé).
On pourrait d'ailleurs presque s'inquiéter de l'importance accrue du match primé dans le nouveau système, où il représente tout de même 13% des rencontres à lui tout seul, tant l'avantage au niveau du KSG s'est révélé depuis le début de saison un élément déterminant pour la victoire finale (dans plus de 80% des cas l'équipe avec le meilleur KSG l'emporte au final).
De plus, la montée en "puissance" d'équipe faire-valoir du type GST ou NYK, risque d'amplifier encore le phénomène en assurant un pourcentage de points "garantis" au GM qui a la chance de les voir se profiler à l'horizon de son calendrier.
Bien évidemment, il ne s'agit là que de l'opinion d'un coach dont les joueurs ont tendance à confondre KSG et RTT…
E.E. vs SPITS
Pour faire honneur à la performance en pointillés de mon équipe, j'ai laissé au repos un tiers des mots du résumé la concernant. C'est d'autant plus profitable que cela me permettra d'insulter copieusement la bande de …qui la composent, sans avoir à subir les foudres de la censure.
J'en profite donc pour saluer comme il se doit les performances de ce … d' … d'Al Horford (qui en alignant sur KSG une performance d'une qualité telle qu'elle a conduit son coach (le vrai) à s'interroger sur ses activités nocturnes les veilles de match) et cette …. de Durant dont l'adresse au shoot me donne envie de lui … dans le … .
A l'exception notable de XXX (nom modifié pour tenter d'échapper à l'inévitable Jinx), c'est d'ailleurs l'ensemble de ce ramassis de … qui me sert d'effectif qui semble avoir oublié que le meilleur moyen de marquer des points au basket, c'est encore de mettre la baballe dans le panier.
…. de nom de … de ….
Chez les SPITS, on célèbre la victoire sans trop se soucier de savoir qui des performances des joueurs de l'équipe ou de la tendance à l'automutilation de l'adversaire en est la cause première et principale.
Entré en jeu à la place des Brandons Roys (on lui applique le pluriel maintenant qu'il est livré en pièces détachées), Luis Scola a immédiatement pris ses marques au sein de l'effectif en démoulant un KSG qui ferait la fierté du département recherche & développement des établissements Fucca.
L'histoire retiendra également que je deviens cette semaine, le premier GM de l'histoire des Fantasy Leagues à subir une défaite des mains de Raymond Felton, lequel bénéficie à plein du coefficient multiplicateur GST pour assurer l'extraball.
GPL vs KFC
Dans le duel au sommet de la basse cour, c'est la volaille fermière élevée en plain air, élevée en plein Gers qui a su finalement s'imposer et décrocher le label rouge face aux tenants du lobby de l'industrie agro alimentaire
Il faut dire que s'il est une équipe qui s'est fait un plaisir de profiter des bienfaits du calendrier pour décrocher un score de flipper, c'est bien les GPL. Avec pas moins de 6 matches alignés contre des équipes plus connues pour leurs journées portes ouvertes que pour leur amour du Catenaccio italien des années 80, le GM des Gros Poulets avait pris soin de leur confier la clé du silo à grains à sa couvée. Et les braves bêtes ne se sont pas faites prier pour en profiter, à l'image d'un Blake Griffin qui engloutit à lui tout seul près d'un tiers des points de l'équipe grâce à un KSG gargantuesque.
Après leur explosion de cette semaine, nul doute que nous venons d'assister à l'éclosion du favori annoncé de la saison.
Chez les KFC on fait la grimace, car malgré un départ en fanfare et un abonnement renouvelé à Challenge magazine, les spécialités panées à base de volaille recomposée n'ont guère fait le poids face à leurs cousins de la campagne.
Après un début de saison stratosphérique les joueurs de l'équipe semblent s'être brusquement souvenus que les poulets ne volent pas (à fortiori lorsqu'ils ont été préalablement égorgés, vidés, débités en lamelles et frits) et retombent sur terre à la manière d'un D-Wade désailé qui ôte, pour la deuxième semaine consécutive, toute chance de succès aux siens.
ABC vs FotBR
En aplatissant leur adversaire à la manière d'un mastodonte s'essuyant négligemment les pieds sur Nicolas Sarkozy (c'est juste pour le plaisir de l'image mentale), les Johann 5 ont assuré, ou presque, leur première place pour cette période inaugurale.
Comment imaginer en effet qu'ils puissent trébucher sur la dernière marche quand celle-ci est constituée par l'écurie de celui qui est, depuis le début de saison, leur porte bonheur officiel. Je tire et baisse donc, par avance et respectivement, mon chapeau et mon pantalon face à l'équipe du meilleur GM du monde, un stratège comme on n'en voit qu'un par siècle et dont les joueurs brillent tout autant par le talent, la durabilité que leur capacité inégalée à bonifier les matches qu'on leur confie.
Que pourrait espérer le ramassis de gnomes contrefaits qui peuple mes vestiaires face à des demi-dieux du calibre d'Howard (3 DNPs en carrière) ou Nowitzki (des chevilles en acier trempé et ces rotules ! Du titane !). On raconte même que Russell Westbrook serait capable d'arrêter un coup de feu tiré à bout portant et de digérer l'uranium enrichi.
Mais je m'arrête là, ne souhaitant surtout pas nuire à la bonne fortune de mon futur adversaire avec cette surabondance de compliments.
A ce niveau de la compétition, difficile de mesurer avec précision la distance qui sépare l'équipe d'Alain d'un bouillon de culture. A l'instar des bactéries ses performances tendent vers le microscopiques, ses joueurs semblent dotés d'un pouvoir de nocivité et de contagion porche de celui du virus de Marburg et comme celui-ci, ils passent plus de temps dans les pharmacies et les laboratoires que sur les terrains.
Seul heureux développement au milieu de cet océan de désolation, le retour en grâce d'Amare Stoudemire qui a retrouvé ses jambes depuis qu'il a pris pour habitude d'assaisonner son petit déjeuner avec celui de Deron Williams. Ce dernier point constitue également la raison première des performances, un rien anorexiques dernièrement, du PG vedette de l'équipe.
Challenge :
KFC : 11 - FotBR : 9 -
Podium :
GPL- ABC - SPITS.
Closing Five
1. The Kodak Moment :
Comment passer à côté du KSG hyper-mega-amphi-strato-banano-sphérique qui permet à l'équipe de Manu de reléguer la concurrence à distance interstellaire. Même si cette performance a été accomplie face aux Knicks (just add water for an instant 100 points game) elle restera le moment fort de la semaine pour tous les GMs qui n'ont pas eu la bonne idée de prêter les clés du KSG à Al Horford (voir ci-dessous).
2. Le challenge Domenech :
Pour la deuxième fois de cette jeune saison, l'occasion m'est donnée de sombrer dans l'auto congratulation la plus flagrante puisqu'en plaçant face à Boston, mon match primé de la semaine, j'ai placé Al Horford en position idéale pour établir une nouvelle référence mondiale en matière de futilité et d'incompétence.
3. Cogito Urgo Sum :
Le trophée du bobo qui fait mal est attribué conjointement à Sir Alex et moi-même pour l'ensemble de notre œuvre, plus de la moitié de nos effectifs respectifs ayant transité par la case infirmerie à un moment ou un autre de la saison.
4. Bienvenue au club :
A Raymond Felton qui pour une de ses premières titularisations Roto a sur marquer les esprits comme les paniers à trois points pour une performance qui restera dans les annales, malgré un contrôle antidopage positif au GST.
5. Ils nous ont quitté (Merci de ne pas applaudir cette séquence)
Adieu et bon voyage à Brandon Roy qui à la croisée des chemins a décidé d'envoyer ses genoux vers la gauche tandis que le reste de son anatomie empruntait la voie de droite. Il restera dans l'histoire de la roto comme l'archétype du joueur qu'on préfère avoir sur le banc que sur le terrain, titre qui, en son absence, échoit désormais à André Iguodala.
Yo Yo fait du slalom - par
SQL
Que ceux qui, à la lecture du titre de ce billet, s'attendaient à un compte rendu exhaustif des performances de certain violoncelliste asiatique en matière de ski alpin se rassurent ou se consolent selon leur intérêt respectif pour le sujet.
Il s'agissait en fait pour moi d'insister une fois de plus sur le degré d'imprédictibilité record qui accompagne l'avènement de la Rôtisserie version 3.0.
D'une semaine sur l'autre les citrouilles se changent en carrosse et les carrosses en carcasses calcinées au fond de la roubine d'une route de campagne avec la versatilité d'un élu UDF à qui on ferait miroiter un maroquin ministériel.
Pour qui aime les rebondissements, y compris lorsqu'ils impliquent de rebondir tête première après une dégringolade de cinq étages, il s'agit clairement du système idéal. Pour ceux qui comme moi, ont plus de peine à naviguer à vue au milieu d'un océan d'incertitude, cette édition pourrait bien sonner le glas de nos prémolaires, sacrifiées sur l'autel du grincement.
C'est bien cette valse hésitation permanente qui me permet de justifier autrement que par pure paresse intellectuelle, l'introduction de mon billet sur ce thème pour la troisième fois d'affilée : Chaque semaine diffère tant de la précédente, qu'elle me conduit à réviser mon jugement sur la question avec la frénésie d'un bachelier la veille d'un oral de rattrapage.
Seule certitude pour le moment, l'amendement du barème des bonus semble être un véritable plus, en ce qui concerne l'intérêt du classement, en limitant les écarts qui avait ces dernières années subi une inflation plus que dommageable.
E.E. vs SPITS
Confronté une fois encore à la transformation en boudins créoles, des deux tiers de mes choix de draft, j'envisage de plus en plus sérieusement de démissionner de mon poste pour vivre de subsides extorqués aux joueurs NBA, sous la menace de les sélectionner dans mon équipe Roto. (Manu si tu es chaud, 49% du capital de la Mascle & Chkoumoune inc n'attendent que toi...).
Concernant la semaine en cours, KD semble prendre un tel plaisir à baisouiller mes chances de victoire que je me suis plusieurs fois surpris à vérifier si ce n'était pas lui qui entretenait des relations extra-conjugales avec Tony Parker. Globalement, j'ai pris un tel plaisir à le coacher cette saison que c'est maintenant son nom que je crie quand je me cogne le pied dans un meuble.
Les """performances""" (triples guillemets) de Jamison et la blessure de Nash devraient suffire à assurer à mon méritant adversaire l'inauguration en grandes pompes de son compteur de victoires.
212.65 pts, 42.53 avg, 10 games left + KSG
On peut être punk dans l'âme et rouler en diesel comme le démontre les SPITS qui après trois tours de chauffe atteignent enfin leur vitesse de croisière avec l'entrée de Scola dans l'effectif.
La stratégie du tout intérieur adoptée par leur GM parait d'autant plus payante qu'elle est épaulée par un Rajon Rondo qui a officiellement remplacé "un petit pois avec une mitrailleuse" comme réponse officielle à la devinette "Qu'est-ce qui est vert et qui fait peur ?".
Autre bonne nouvelle, les performances de Kevin Love semblent indiquer qu'une des boîtes de chocolats "maison" envoyées à grand frais par Sir Alex a finalement réussi à faire son chemin jusqu'à la boîte aux lettres de Kurt Rambis.
324.40 pts, 54.07 avg, 9 games left + KSG
ABC vs FotBR
Il semblerait que l'annonce du décès de la baraka de l'ami Johann ait été quelque peu anticipée. La bête bouge encore et elle se sent une furieuse envie de Hobbit pour son dessert. Certes avec seulement 3 matches joués, l'échantillon est un peu parcellaire, mais il est difficile d'ignorer une moyenne à plus de 60 points et un avantage de 2 matches (KSG compris) au compteur.
191.75 pts, 63.92 avg, 12 games left + KSG
Après un retour à la normalité en début de saison, on jurerait que Dame Fortune tente depuis la semaine passée de nous convaincre de sa sobriété lorsqu'elle tressait ses lauriers de champions à notre confrère Alain. A moins bien sur, qu'elle ne se soit tout bonnement remise à la binouze.
N'étaient les égarements de Lopez et Hickson, on se croirait presque revenus au temps où les Boobs attiraient la victoire avec la constance d'un électro-aimant industriel oublié dans une quincaillerie.
224.35 pts, 44.87 avg, 11 games left
KFC vs GPL
Seule équipe à bénéficier d'une carte fidélité podium & challenge, les KFC partent une fois de plus favoris dans le jeu des chaises musicales du haut de classement.
Laissant derrière eux le sabordage orchestré par le sous marinier Wade en troisième semaine, ils bénéficient depuis mercredi d'une remarquable constance en matière de résultats.
L'équipe s'étant mise au diapason de ses leaders pour convertir les poulets fermiers aux joies de l'industrie agro-alimentaire, les GPL ont ainsi du subir un cours de rattrapage sur les problématiques d'élevage en batterie dispensée par la couvée de Miami, tandis que Derrick Rose se livrait sur eux à une brillante démonstration des toutes dernières avancées en matière de dépeçage et d'éviscération.
417.05 pts, 52.13 avg, 8 games left
Rien de tel qu'un bon combat de coq pour la suprématie du tas de fumier pour redonner brillant et volume aux plumage légèrement écorné d'un favori.
Fièrement campés sur leurs ergots, les Gros Poulets sont déterminés à prouver que la tentative de chaponnage subie des mains des forces impériales ne fut point couronnée de succès.
Manu étant le stratège que l'on sait, il a également pris soin, pour le cas où les performances retrouvées de Griffin et Hibbert s'avèreraient insuffisantes, de tenter de soudoyer son adversaire en effectuant un intense travail de lobbying pour que les Buzzer Beaters soient comptabilisés dès l'échauffement.
359.70 pts, 51.39 avg, 8 games leff + KSG
Challenge :
KFC : 5 - GPL : 4 - E.E. : 4
Podium :
KFC - GPL. - SPITS
Putain de semaine - par
SQL
Pas de résumé cette semaine, Juste un point sur les résultats :
E.E. 838.05 --vs-- GPL 631.55
ABC 717.7 --vs-- SPITS 593.75
KFC 811.3 --vs-- FotBR 821.65
Challenge : Free Throw Attempts -- Winner : KFC
Most Points Gold : E.E.
Most Points Silver : FotBR
Most Points Bronze : KFC
Defensive Bonus : KFC
week-end 3 - par
Alf
Petit point score - Week 3
Je me lance aujourd'hui pour faire un petit point sur la semaine en cours, pleine de rebondissements de performances exceptionnelles et de grandes désillusions. Bref, la roto.
Sachant que vous êtes tous impatients de lire mes commentaires, je ne vous fais pas plus attendre et voici les résultats (comme vous l'avez compris, je n'ai en fait pas trop de temps pour développer la chose).
Match 1 : l'Etoile noire vs La Basse-cour.
Et c'est avec impatience que nous attendons tous de voir notre cher commish danser sur MC Hammer. Tellement que Manu a donné des consignes à son effectif afin de s'assurer de la victoire des soldats de l'Empire.
Griffin (18.5 chez les Spurs), Melo (13.3 à Indiana) ou encore Evans (4.7 vs Minnesota) ont appliqués à la lettre les instructions de leur GM ex-favori de cette saison. Des perfs comme celles-ci, cela me rappelle quelque chose... Seul David Lee (70.8 : 28p 10rbds) n'a pas dû recevoir le message. Faut dire qu'ils jouent avec des œillères chez les Warriors.
Du côté obscur, même papi Nash commence à ressentir la force (90.7 cette nuit). Pas moins de 6 perf sur 9 au-dessus de 60! Bilan 55.29 de moyenne et une fin de semaine qui sent bon le podium points.
Bilan : EE 552.85 pts (6m) / Cocoricocoballs : 402.85 pts (6m)
150 pts en 6 matchs, ça va être dur!
Match 2 : poulets frit(e)s vs La Comté.
En temps normal, mettez des poulets dans les mains de Hobbits et ils n'en font littéralement qu'une bouchée. Encore faut-il les attraper et je dois avouer que les gallinacés de Michel courent très très vite! Après une première soirée exceptionnelle où les KFC ont marqué 237 points en un seul match (Millsap 97.4, Wade 67.25 et Lebron 72.3) et où mes joueurs continuaient de briller (Lopez 27.6 bel effort! et West 15.1) la messe semblait dîte et je m'attendait à une troisième semaine d'ennui au fond de mon terrier à cogiter sur le choix des inactifs. Comme dans les meilleurs western, John Wall est arrivé en sauveur, distillant son premier triple double sur le ksg que j'avais placé (probablement par inadvertance) sur lui. Wallace ayant enchaîné (miracle) deux belles perfs et D-Will enfin lancé, voilà de quoi emporter de haute main cette semaine.
Mais les poulets ont la dent dure, c'est bien connu. Forts de leur départ en trombe Holiday (50.55) Noah (50.45) Lebron (74.55) et Rose (71.3) permettent à Michel de tenir la corde et ce, malgré le trou d'air qu'à connu Wade contre les Celtics (-10.45 !!!!!!!!!!!!!!)
Bilan : KFC 514.45 pts (5m+ksg) / vilaines bestioles joufflues 595.4 (4m)
Petit avantage pour les KFC. Chaque match va être décisif. J'ai demandé à D-Will de ne faire aucune assist à Millsap à Charlotte. Réponse cette nuit.
Match 3 : les cracheurs de rôtissoires vs les analphabètes.
31 points et 31 rebonds ! 108.6 pts roto mais surtout des stats historique pas vues depuis 28 ans et les 32 pts et 38 rebonds de Moses Malone pour Houston contre Seattle en 1982. (dixit l'équipe). De quoi redonner un peu de vigueur à Alex qui sombrait tel Leonardo dans la piscine de James Cameron. Malheureusement le bouffon vert des Thunders a préféré se reposer cette nuit. Rondo reste aux assists ce que Jésus est aux petit pains mais la bonne nouvelle est le retour aux affaires de Zach Randolph. N'enterrez pas un futur vice champion trop vite!
Le meilleur GM du monde peut être fier de son équipe. Quel bel esprit de solidarité face à l'équipe dernière de la saison que de ne jouer qu'avec une main! Seul Westbrook (76.15 et 87.4) a décidé d'empêcher KD de tourner à 50 pts par match. Le reste de l'équipe est à l'image du ksg de Marc Gasol (14.9 *2). Jo, c'est ton Robin Lopez à toi... Ah non! Robin c'est ça à chaque match...
Bilan : Spits 325.9 (7m+ksg) / ABC one two three 347.2 (7m)
Encore beaucoup de matchs à jouer dans cette rencontre. C'est chaud !
Challenge : les KFC écrasent tout avec déjà 83 FTa.
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