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Hall/hallSQL.pngRound 1 - TJ Ford Region - Matchup 2 - par SQL

Les jeux sont ouverts pour le premier tour de La TJ Ford Region. Vous aurez à départager les Look Ma, No Hands et les Ill Placed Keloïds. Vous pouvez voter autant de fois que vous le désirez, le sondage étant clos le 06/06/2011.
Attention, pour des raisons techniques, le vote n'est pas possible depuis la page d'accueil. Merci de cliquer sur le bouton Blog, de la barre de navigation pour participer au scrutin.

Publié le 30/05/2011 @ 09:48  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngRound 1 - TJ Ford Region - Matchup 1 - par SQL

Les jeux sont ouverts pour le premier tour de La TJ Ford Region. Vous aurez à départager les Boobs et l'Evil Empire. Vous pouvez voter autant de fois que vous le désirez, le sondage étant clos le 06/06/2011.
Attention, pour des raisons techniques, le vote n'est pas possible depuis la page d'accueil. Merci de cliquer sur le bouton Blog, de la barre de navigation pour participer au scrutin.

Publié le 30/05/2011 @ 09:42  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngLet the Tournament Begin ! - par SQL

Afin de meubler un peu une intersaison dont la durée pourrait dépasser de loin l'intermède estival auquel nous sommes habitués, l'idée m'est venue de vous soumettre le projet suivant.

Voilà maintenant 6 ans (7 si l'on englobe notre version personnelle du Lockout à venir) que bon gré malgré, la Rôto trace son petit bonhomme de chemin, essuyant sans broncher les tempêtes des changements de règlements et les allées et venues de ses membres d'équipage.

Au cours de ces années, ce ne sont pas moins de 35 équipes qui ont alignés leurs espoirs sur la ligne départ. S'il est facile de se remémorer lesquelles furent les plus brillantes de leur propre promotion, il est revanche beaucoup plus malaisé de comparer les différents millésimes entre eux. La faute aux nombreux changements de systèmes, tant du point de vue du comptage des points, que de la gestion de l'effectif (beaucoup plus contraignante dans les temps héroïques) ou encore du type d'affrontements proposés.

C'est donc à ce travail de mémoire que je vous invite aujourd'hui en vous soumettant cette question dont la cruciale importance ne saurait vous échapper :

Quelle fut la meilleure équipe Roto de tous les temps ?

Pour trancher définitivement le débat, et puisqu'il est admis que le seul décompte mathématique des points ne saurait rendre justice à chacun des candidats en lice, je me suis penché sur la question afin d'isoler quelques critères permettant de créer une première hiérarchie au sein du peloton. Ces critères sont au nombre de 3 :

1. Efficacité Roto.

On mesurera ici les écarts entre la moyenne de l'équipe et celle de la ligue cette année là, ainsi que les marges les séparant de ses adversaires directs.

2. Qualité de l'effectif.

Plus subjectif, ce point permet d'évaluer la qualité réelle de chaque effectif. Une équipe avec David Lee et Al Jefferson à l'intérieur peut éventuellement rapporter plus de points Rôtisserie qu'une autre alignant Pau Gasol et Joakim Noah, mais en cas d'affrontement réel et direct, il ne fait aucun doute que les seconds l'emporteraient 9 fois sur 10.

3. Impression Globale.

Il ne suffit pas d'être champion pour marquer les esprits. Certaines équipes ont laissé plus profondément que d'autres leur empreinte dans l'inconscient collectif. Que ce soit par leur écrasante domination, la personnalité de leur GM ou même la chance éhontée dont elles ont fait preuve, elles ont contribué à écrire les plus belles pages de la ligue et méritent d'en être récompensées. 

Ces points seront donc les piliers sur lesquels nous devront nous hisser pour départager les 16 meilleures équipes de l'histoire de la Roto. Afin de pimenter un peu l'expérience, la compétition sera organisée sous la forme d'un tournoi alignant quatre poules avec quatre têtes de série, sur le mode du Final Four universitaire. Afin de faciliter le déploiement du processus, j'ai pris sur moi de classer les concurrents en quatre groupes (de tête à fin de série).

C'est également l'occasion de vous présenter chacun des candidats à la reconnaissance suprême avec ses forces et ses faiblesses :

 

Number 1 seeds : 
 

  1. BoobSmallShadow.png Boobs (Champion 2009-2010) 13 pts

      - Efficacité Roto : 5

Moyenne de l'équipe

53.70

Moyenne de la ligue

47.8

Ecart à la moyenne

+ 5.8

Ecart au deuxième en points roto

+ 2037.1

Ecart au deuxième à la moyenne

+ 3.27

Ecart au deuxième en point playoffs

+ 28

Top scores

13/24

Top average

15/24

       - Qualité de l'effectif : 4

C: Andrew Bogut, Joakim Noah,

PF: Amare Stoudemire (7 all stars, 1 MVP), Brook Lopez (1 all star, 1 MVP)

SF : Chris Bosh (4 all stars), Corey Maggette, Andray Blatche (2 all stars)

SG: Kevin Durant (13 all stars, 6 MVPs), Monta Ellis

PG : Stephen Curry (4 all stars, 1 MVP), José Calderon, Brandon Jennings, Tony Parker

       - Impression globale : 4

Profitant d'une saison où la présence de 8 équipes a conduit à une dilution importante des talents, les Boobs ont laissé le souvenir d'une équipe quasi invincible et dont la stratégie du tout intérieur a durablement impacté le comportement des autres GMs. Si       on y ajoute une degré de réussite qui leur a valu d'être choisis par Panzani pour représenter sa ligne de produits pour bain de siège, il ne fait nul doute que les Boobs méritent amplement leur place au panthéon de la Roto.

 

  1. Pedalosmallshadow.pngPedalo de Krakovie (Champion 2006-7) - 12.5 pts

       - Efficacité Roto : 5

Moyenne de l'équipe

49.68

Moyenne de la ligue

44.84

Ecart à la moyenne

+ 4.84

Ecart au deuxième en points roto

+ 1566.95

Ecart au deuxième à la moyenne

+ 3.88

Top scores

11/24

Top average

13/24

       - Qualité de l'effectif : 4.5

C: Marcus Camby (1 all star), David Lee

PF: Chris Bosh (8 all stars, 1 MVP), David West

SF: Gerald Wallace (3 all stars, 2 MVPs), André Iguodala

SG: Kobe Bryant (10 all stars, 2 MVPs), Danny Granger, Leandro Barbosa

PG Chris Paul (3 all stars), Gilbert Arenas (7 all stars, 2 MVPs)

            - Impression globale : 3

Le Pedalo paie ici le prix du système de jeu sans opposition directe qui a tendance à générer moins d'évènements mémorables que le Head to Head. Sa forte personnalité et son thème porteur lui assurent toutefois une note légèrement supérieure à la moyenne.
 

   3. GQRsmallshadow.pngGemini Q'Rockets 95 (Champion 2008-09) 12.5 pts

       - Efficacité Roto : 4

Moyenne de l'équipe

50.48

Moyenne de la ligue

46.78

Ecart à la moyenne

+ 3.69

Ecart au deuxième en points roto

+ 983.9

Ecart au deuxième à la moyenne

+ 2.54

Ecart au deuxième en point playoffs

+6.9

Top scores

8/24

Top average

9/24

       - Qualité de l'effectif : 3.5

C: Yao Ming, Al Jefferson (2 all stars), Amare Stoudemire

PF: David Lee (5 all stars), LaMarcus Aldridge, Kevin Love (1 all star), David West

SF: Dirk Nowitzki (6 all stars, 2 MVPs), Hedo Turkoglu, Rudy Gay, Caron Butler

SG: Vince Carter, Jason Terry, Eric Gordon, Kevin Martin

PG: Chris Paul (16 all stars, 5 MVPs), Joe Johnson(1 all star), Jose calderon, Baron davis

       - Impression globale : 5

Inutile de dire que lorsque les deux GMs les plus maudits des éditions précédentes ont annoncé leur intention de mettre en commun leurs misères pour la saison à venir, personne ne s'est précipité pour leur réserver une bouteille de champagne au frais. C'est ce grand écart entre leurs mésaventures passées et la réussite puisée au cœur de cette improbable alliance qui fait des GQR une des équipes les plus singulières et les plus inoubliables de la saga Roto.

 

  1. ABCTeamSmallShadow.pngThe ABC Team (Champion 2010-11) 12 pts

                   - Efficacité Roto : 4

Moyenne de l'équipe

49.58

Moyenne de la ligue

47.11

Ecart à la moyenne

+ 2.47

Ecart au deuxième en points roto

+ 114.9

Ecart au deuxième à la moyenne

+ 0.44

Ecart au deuxième en points playoffs

+ 4.5

Top scores

5/24

Top average

5/24

       - Qualité de l'effectif : 4

C: Dwight Howard (14 all stars, 3 MVPs), Marc Gasol

PF: LaMarcus Aldridge (3 all stars), DeJuan Blair, Lamar Odom (1 all star)

SF: Dirk Nowitzki (6 all stars), Kevin Martin

SG: Monta Ellis (6 all stars, 1 MVP), Stephen Jackson

PG: Russell Westbrook (7 all stars), DJ Augustin,Aaron Brooks

       - Impression globale : 3.5

Bien qu'ayant dominé sa saison de la première à la dernière semaine, la ABC team pâtit de l'avoir emporté lors d'une année qui restera, la faute en incombant à un système de jeu mal calibré, comme l'une des moins intéressantes et des moins enflammées de l'histoire de la ligue. Contrairement aux Boobs dont la bonne fortune se singularisait par des coups d'éclats permanents, elle s'est contentée de traverser à un rythme de croisière respectable sans être exceptionnel, les écueils qui conduisaient immanquablement le reste des concurrents au naufrage. Le fait d'avoir été désignée comme "favoris" pour la cuillère de bois par le commissionner au début de la saison, apporte toutefois à leur réussite un goût de revanche, qui s'il est quelque peu artificiel, n'en est par pour autant désagréable

 

 Number 2 Seeds :

  1. Thudsmallshadow.pngTHUD ! (Champion 2007-08)  11 pts

       - Efficacité Roto : 3.5

Moyenne de l'équipe

47.88

Moyenne de la ligue

45.92

Ecart à la moyenne

+ 1.97

Ecart au deuxième en points roto

- 193.2

Ecart au deuxième à la moyenne

- 0.56

Ecart au deuxième en point playoffs

+14.6

Top scores

6/24

Top average

6/24

       - Qualité de l'effectif : 4.5

C: Dwight Howard (7 all stars, 3 MVPs), Marcus Camby (2 all stars)

PF: Antawn Jamison (1 all star), LaMarcus Aldridge, Lamar Odom

SF: Carmelo Anthony (8 all stars, 1 MVP), Hedo Turkoglu (1 all star)

SG: Kevin Martin (1 all star), Dwyane Wade (3 all stars)

PG: Jason Kidd, Devin Harris, Chauncey Billups

       - Impression globale : 3

Leur absence de GM et le fait d'avoir pris part à l'une des saisons les moins disputées de l'histoire de la ligue (du fait de quelques défections en cours de saison et de l'absence de tout rival direct qui ne soit pas coaché par la même personne) font du       THUD ! un champion qui a surtout marqué les esprits par son écrasante domination du premier championnat basé sur la formule Head to Head.

 

  1. Handsshadow.png Look Ma, No Hands ! (Champion 2004-05) 12 pts

       - Efficacité Roto : 5

Moyenne de l'équipe

43.01

Moyenne de la ligue

38.14

Ecart à la moyenne

+ 4.87

Ecart au deuxième en points roto

+ 2281.09

Ecart au deuxième à la moyenne

+ 6.05

Top scores

18/25

Top average

22/25

      - Qualité de l'effectif : 4

C: Ben Wallace (8 all stars), Samuel Dalembert, Primoz Brezec

PF: Amare Stoudemire (14 all stars, 6 MVPs) , Pau Gasol,

SF: Paul Pierce (10 all stars), Andreï Kirilenko, Jason Richardson, Ron Artest

SG: Kobe Bryant (10 all stars, 3 MVPs), Michael Redd (1 all star)

PG: LeBron James (18 all stars, 4 MVPs), Tony Parker

       - Impression globale : 3

Malgré un titre de premier champion de l'histoire et un effet Ron Artest non négligeable, la Look Ma, No Hands ne pouvait espérer, du fait de la faiblesse de l'opposition qui lui était opposée et de la confidentialité de son succès, forcer la porte du cercle très fermé des têtes de séries.

 

  1. LeDessusDuPanierSmallShadow.png Le Dessus du Panier ! (Deuxième 2009-10) 10.5 pts

       - Efficacité Roto : 3

Moyenne de l'équipe

50.43

Moyenne de la ligue

47.8

Ecart à la moyenne

+ 2.59

Ecart au premier en points roto

- 2037.1

Ecart au premier à la moyenne

- 3.27

Ecart au premier en points playoffs

- 28

Top scores

6/24

Top average

6/24

       - Qualité de l'effectif : 4.5

C: Al Horford (1 all star), Joakim Noah, Luis Scola

PF: Dirk Nowitzki (5 all stars, 1 MVP), David West, Paul Millsap, Jason thompson

SF: Kobe Bryant (3 all stars), Marcus Thornton

SG: Chris Paul (5 all stars, 2 MVPs), Aaron Brooks

PG: Rajon Rondo (3 all stars)

       - Impression globale : 3

La preuve que disposer d'un effectif de champion ne suffit pas, il faut aussi avoir la chance de le conserver intact pour pouvoir en tirer les bénéfices. C'est donc à l'abri relatif de leur parapluie déchiqueté par une averse de tuiles, que les DDP ont vu leurs rivaux des Boobs s'envoler avec le titre qui leur était promis. Ils n'en restent pas moins l'un des meilleurs deuxièmes de l'histoire de la ligue.

     

  1. Saubersmallshadow.png Sauber, Frut & Fruber ! (Deuxième 2007-08) 10.5 pts

       - Efficacité Roto : 3

Moyenne de l'équipe

48.44

Moyenne de la ligue

45.92

Ecart à la moyenne

+ 2.52

Ecart au premier en points roto

+ 193.2

Ecart au premier à la moyenne

+ 0.56

Ecart au premier en points playoffs

- 14.6

Top scores

6/24

Top average

8/24

       - Qualité de l'effectif : 4

C: Amare Stoudemire ( 2 all stars, 1 MVP), Andris Biedrins, Andrew Bynum

PF: Carlos Boozer (6 all stars, 1 MVP), Al Horford, Pau Gasol (1 all star),

SF: Danny Granger (1 all star), Luol Deng, Zach Randolph

SG: Kobe Bryant (11 all stars), Monta Ellis (1 all star)

PG: Steve Nash (2 all stars, 1 MVP), Daniel Gibson, Tracy McGrady

       - Impression globale : 4

Pour parvenir à se singulariser par sa malchance dans une ligue où les trois quarts des participants s'estiment à plus ou moins juste titre poursuivis par la malédiction, il n'en fallait pas moins que l'exploit accompli par la Sauber lors de la saison 2007. Bien qu'ayant inscrit plus de points et obtenu une meilleure moyenne par match que le champion en titre, ils sont tout de même parvenus à échouer à près de 15 points playoffs de l'éventuel vainqueur, lequel, pour ajouter l'insulte à la blessure, n'était autre qu'une équipe factice managée en sous main par leur propre GM.

 

Number 3 seeds :

 

  1. KFCSmallShadow.png Kurupted Funcky Chicken (Deuxième 2010-11) 10 pts

       - Efficacité Roto : 3

Moyenne de l'équipe

49.14

Moyenne de la ligue

47.11

Ecart à la moyenne

+ 2.02

Ecart au premier en points roto

- 114.9

Ecart au premier à la moyenne

- 0.44

Ecart au premier en points playoffs

- 4.5

Top scores

6/24

Top average

6/24

       - Qualité de l'effectif : 4.5

C: Joakim Noah (2 all stars, 1 MVP), Tim Duncan, De Marcus Cousins

PF: Chris Bosh, David Lee (1 all star), Paul Millsap, Josh Smith,, Michael Beasley

SF: LeBron James (13 all stars, 2 MVPs), Danny Granger

SG: Dwyane Wade (7 all stars, 1MVp), Stephen Jackson

PG : Derrick Rose (3 all stars, 1 MVP), Jrue Holliday

       - Impression globale : 2.5

Par malheur cette équipe, dont l'effectif est sans conteste l'un des plus relevés de cette liste, n'aura jamais été aussi efficace que lorsque ses GMs affichaient un profil au ras des sillons. Elle en tire donc une personnalité aussi relevée que la gastronomie évoquée par son sobriquet. Le fait d'avoir pris part à une saison lestée par l'expérience des 15 matches hebdomadaires n'arrange rien à l'affaire.

     

  1. IPKSmallShadow.png Ill-Placed Keloids (Deuxième 2008-09) 10 pts

       - Efficacité Roto : 3

Moyenne de l'équipe

45.64

Moyenne de la ligue

46.78

Ecart à la moyenne

- 1.08

Ecart au premier en points roto

- 983.9

Ecart au premier à la moyenne

- 4.84

Ecart au premier en points playoffs

- 6.9

Top scores

4/24

Top average

2/24

       - Qualité de l'effectif : 3.5

C: Dwight Howard (2 all stars), Andrew Bogut, Andris Biedrins (1 all star)

PF: Amare Stoudemire, Pau Gasol, David West, Carlos Boozer, Zach Randolph (1 all star)

SF: Antawn Jamison (3 all stars), Danny Granger (1 all star, 1 MVP), Hedo Turkoglu

SG: Kobe Bryant (6 all stars), Brandon Roy, Joe Johnson, OJ Mayo

PG: Deron Williams (2 all stars), Chauncey Billups, Nate Robinson

       - Impression globale : 3.5

Malgré un relatif manque de succès, cette écurie a pris sa place dans le panthéon Rôtisserie en cimentant la légende d'éternel second de Sir Alex et surtout en alignant le meilleur nom jamais trouvé pour une équipe Roto.

 

  1. ComicsidekicksSmallShadow.png Comic Sidekicks (Deuxième 2007-08) 8 pts

       - Efficacité Roto : 2.5

Moyenne de l'équipe

45.80

Moyenne de la ligue

44.84

Ecart à la moyenne

+ 0.96

Ecart au premier en points roto

- 1566.95

Ecart au premier à la moyenne

- 3.88

Top scores

6/24

Top average

5/24

       - Qualité de l'effectif : 2.5

C: Dwight Howard (6 all stars, 3 MVPs)

PF: Elton Brand (8 all stars), Al Jefferson (2 all stars, 1 MVP)

SF: Carmelo Anthony (2 all stars), Josh Howard (1 all star), Danny Granger

SG: Allen Iverson (2 all stars), Brandon Roy (2 all stars)

PG: Brevin Knight, Luke Ridnour

       - Impression globale : 3

Une équipe qui portait sans doute trop bien son nom et qui n'aura jamais réussi à dépasser son rôle de faire valoir face à la mécanique bien huilée du Pédalo. Il n'en reste pas moins que l'adéquation quasi parfaite entre ses résultats et sa thématique (le        coyote qui poursuit sa proie sans jamais parvenir à la rattraper) lui confère une aura indéniable.

 

  1. OPapaChicoBurritosSmallShadow.png O'Papa Chico Burritos (Deuxième 2004-05) 7 pts

       - Efficacité Roto : 2

Moyenne de l'équipe

36.96

Moyenne de la ligue

38.14

Ecart à la moyenne

-1.16

Ecart au premier en points roto

- 2281.09

Ecart au premier à la moyenne

- 6.05

Top scores

5/25

Top average

2/25

       - Qualité de l'effectif : 2

C: Zach Randolph (2 all stars), Emeka Okafor (4 all stars, 1 MVP)

PF: Tim Duncan (7 all stars, 1 mvp), Chris Bosh

SF: Carmelo Anthony (2 all stars), Tayshaun Prince, Bobby Simmons, Raja Bell

SG: Dwyane Wade (12 all stars, 5 Mvps), Corey Maggette

PG: Steve Nash (5 all stars, 2 MVPs), Kirk Hinrich

       - Impression globale : 3

C'est avec son team inaugural que Sir Alex vient confirmer son emprise sur le groupe des third seeds. Une équipe dont les principaux faits d'armes resteront d'avoir offert Eric Snow à la gazette et de me permettre de sourire à chaque fois que je dois patienter au feu rouge de Fabrègues (Private Joke réservée aux initiés).

 

Number 4 seeds :

 

  1. EvilEmpireLongSmallShadow.png The Evil Empire (Troisième 2010-11) 7.5 pts

       - Efficacité Roto : 1.5

Moyenne de l'équipe

47.65

Moyenne de la ligue

47.11

Ecart à la moyenne

+ 0.54

Ecart au premier en points roto

- 816.2

Ecart au premier à la moyenne

- 1.92

Ecart au premier en points playoffs

- 8

Top scores

3/24

Top average

3/24

       - Qualité de l'effectif : 4

C: Al Horford, Marcin Gortat, Javale McGee, Tim Duncan, Spencer Hawes

PF: Pau Gasol (4 all stars, 1 MVP), Anthony Randolph, Carl Landry

SF: Kevin Durant (3 all stars, 2 MVPs), Josh Smith, Antawn Jamison

SG: Kobe Bryant (1 all star), André Iguodala

PG: Steve Nash (5 all stars), Stephen Curry

       - Impression globale : 2

Si l'on aime à se souvenir des équipes qui portent leur GM au triomphe, il faut aussi parfois savoir accorder l'attention qu'elles méritent à celles qui le remettent à sa juste place. En finissant troisième avec un effectif de champion, l'Empire du Mal apporte un argument définitif sur la qualité réelle de son GM et confirme une fois de plus que les méchants ne gagnent jamais à la fin.

 

  1. SofalogoRoundsmallshadow.png Sofa, So Good (Troisième 2009-10) 6pts

       - Efficacité Roto : 1.5

Moyenne de l'équipe

46.21

Moyenne de la ligue

47.83

Ecart à la moyenne

- 1.62

Ecart au premier en points roto

- 3980.6

Ecart au premier à la moyenne

- 7.49

Top scores

1/24

Top average

0/24

       - Qualité de l'effectif : 2

C: Al Jefferson (1 all star), Roy Hibbert, Andrew Bynum

PF: David Lee (4 all star), Anthony Randolph, Drew Gooden

SF: Carmelo Anthony (3 all stars, 1 MVP), Troy Murphy,

SG: Danny Granger (1 all star), Gilbert Arenas

PG: Tyreke Evans, Jason Kidd, Baron Davis

       - Impression globale : 2.5

Malgré des résultats on ne peut plus médiocres, l'épopée du Sofa résonne peut-être plus intensément que celle d'équipes plus méritantes du fait de leur participation à la saison la plus documentée de l'histoire de la ligue. C'est ainsi que chacun a pu se tenir           informé, à grand renfort de résumés quotidiens, de la longue liste de leurs déboires et avanies et c'est ce qui leur vaut de figurer à cette place du classement aujourd'hui.

 

  1. Houndssmallshadow.png Hounds of Basketville (Troisième 2008-09) 6 pts

            - Efficacité Roto : 1.5

Moyenne de l'équipe

47.94

Moyenne de la ligue

46.78

Ecart à la moyenne

+ 1.16

Ecart au premier en points roto

- 1329.9

Ecart au premier à la moyenne

- 2.54

Top scores

6/24

Top average

7/24

       - Qualité de l'effectif : 2.5

C:Yao Ming (1 all star), Amare Stoudemire (1 all star), Marcus Camby (2 all stars), Spencer Hawes,

PF: Chris Bosh (4 all stars, 1 MVP), Carlos Boozer (1 all star), Al Horford, Nene

SF: LeBron James (11 all stars, 2 MVPs), Kevin Durant, Charlie Villanueva, Gerald Wallace

SG: Carmelo Anthony (1 all star), Kevin Martin, Stephen Jackson, Rudy Gay, André Iguodala

PG: Steve Nash, Devin Harris, Ramon Sessions

       - Impression globale : 2

Première de mes équipes à ne point décrocher le titre suprême, les Hounds resteront comme le prototype de ce qu'il ne faut pas faire lorsqu'on bâtit un équipe roto, et dont le modèle fut si impeccablement reproduit par l'équipe qui les suit au classement, à savoir de drafter en fonction de l'année passée plutôt que de celle qui vient.

 

  1. GrosPouletsSmallShadow.png Les Gros Poulets (sixième 2010-11) 5 pts

       - Efficacité Roto : 0

Moyenne de l'équipe

46.95

Moyenne de la ligue

47.11

Ecart à la moyenne

- 0.16

Ecart au premier en points roto

- 1078.7

Ecart au premier à la moyenne

- 2.63

Ecart au premier en points playoffs

- 21.5

Top scores

6/24

Top average

6/24

       - Qualité de l'effectif : 4

C: Kris Humprhies, Al Jefferson, David Lee, Roy Hibbert, DeAndré Jordan

PF: Blake Griffin (9 all stars, 4 MVPs),  Chis Bosh, DeMarcus Cousins

SF: Rudy Gay, Danny Granger, Andray Blatche

SG: Carmelo Anthony (6 all stars), Tyreke Evans, Joe Johnson

PG: Chris Paul (6 all stars, 2 MVPs), Brandon Jennings, Mike Conley

       - Impression globale : 2

Pour clôturer ce classement, je ressors ma plus belle casserole du placard en la personne de mon favori de la dernière édition. Malgré un effectif de (très) haut niveau       et à l'image du gallinacé dont ils portent le nom, les GPL ne sont jamais parvenus à décoller, empilant les déceptions sur les déconvenues pour se constituer leur petit tas de fumier personnel. Parviendront-ils à faire mieux lors de ce tournoi ? Je me garderai bien de le prédire…

 

Voilà donc pour la liste des participants. Ces derniers seront  répartis, après tirage au sort en quatre grandes poules, (ou régions) portant chacune le nom d'un personnage ayant marqué l'histoire de la Rôto (voir ci-dessous)

Bracket.png

et s'affronteront deux à deux sur le principe de l'élimination directe. Chaque semaine vous aurez à voter pour l'un ou pour l'autre des candidats proposés et le vainqueur sera qualifié pour le tour suivant jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'une équipe en lice : 
 

la meilleure de tous les temps...

Publié le 30/05/2011 @ 09:12  - 3 commentaires 3 commentaires - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngBilan assez. - par SQL

La saison étant si ce n'est dans les faits, au moins sur le papier, déjà terminée, il est temps pour moi de vous proposer un petit bilan de fin de saison qui, espérons-le, s'avérera plus pertinent que mon analyse d'après draft.

ABC Team :

Offense : 775.9 pts/Week, # 1
Defense : 715.9 pts/Week, # 2
MVP : Dwight Howard, I,  4637.3 pts,  68.2 pts/Game, 14 all stars, 3 MVPs
LVP : Marc Gasol, I, 326.1 pts, 29.68 pts/Game

On attendait :

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On a eu :

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Pourquoi leur plan s'est-il déroulé sans accroc ?

Enième paradoxe de cette édition de la Rôtisserie, alors qu'à l'intersaison l'accent était mis sur la gestion de l'effectif, la profondeur de banc et la répartition des rencontres parmi 7 joueurs, l'équipe qui aura dominé la saison est celle dont le 5 majeur s'est montré le plus stable et le plus performant.

Johann est en effet le GM qui a le moins varié les combinaisons et les tactiques, renvoyant sans cesse au front le même noyau dur, bien aidé en cela, il est vrai par des joueurs à l'inespérée (et exaspérante) durabilité.

La présence de l'incontestable MVP 2010-2011, dont l'influence a été magnifiée par la diminution du nombre de matches, fut elle aussi déterminante, permettant même de contrebalancer des performances étonnement médiocres en matière de KSG.

Difficile également de passer sous silence la réussite défensive de l'équipe qui, en encaissant 25 points de moins en moyenne que ses concurrents, a bénéficié d'une autoroute en pente douce vers la victoire (à noter que ce chiffre est affecté par le fait que, ne se rencontrant pas eux-mêmes, les hommes de Johann n'ont pas eu à affronter l'attaque la plus prolifique de la saison…)

Autre élément facilitateur, voire déterminant, dans le triomphe des protégés du meilleur GM du monde, leur capacité à profiter des malheurs de l'adversaire (tel Aldridge tirant tous les bénéfices de la blessure de Roy) voire à leur nuire directement (le travail de sape de Westbrook et Ellis sur Durant et Curry en étant un exemple parfait).

Au final, et en dehors de la légère parenthèse médicale connue par Nowitzki à mi-parcours, difficile d'imaginer meilleur scénario pour une équipe qui n'a connu d'autre embûche que celle de devoir faire la course en tête tout au long de la saison.

(Maintenant que vous avez lu toutes ces calembredaines, il est plus que temps d'en venir au fait et d'affirmer une bonne fois pour toute que la seule raison objective au succès d'une équipe alignant régulièrement Lamar, Odom et Kevin Martin n'est autre que la volonté du Karma de me faire ravaler mon bilan post draft par tous les orifices…)
 

KFC :

Offense : 766 pts/Week, # 2
Defense : 754. pts/Week, # 4
MVP : LeBron James, P,  4074.05 pts,  59.04 pts/Game, 13 all stars, 2 MVPs
LVP : Danny Granger, S, 1136.60 pts, 40.59 pts/Game

On attendait :

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On a eu :

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Pourquoi leurs espoirs ont-ils fini au fond du bac à frites :

Avec une saison en forme de presse-livres, entamée et conclue en trombe, les KFC auraient sans doute dû être la principale menace aux ambitions démesurées du meilleur GM du Monde. Il est simplement dommage que leur bibliothèque soit composée pour majeure partie de traités de scatologie pratique et de recueils de poésie allégorique soviétique.

Un gros passage à vide causé par des soucis physiques et surtout une capacité inégalée à engranger les points par convois entiers (767 alors que la moyenne se situe à 730) les aura donc empêché de viser plus haut que le premier accessit.

Sur le papier leurs arguments étaient pourtant solides, avec un effectif qui du premier au dixième joueur était sans doute, une fois la poussière des différents échanges retombée, un des deux meilleurs de la ligue et auquel il faut bien entendu ajouter leur quasi-monopole sur le challenge de la semaine.

Les difficultés du duo dirigeant  de la franchise à jongler parmi toutes les options pour isoler une formule gagnante rejoignent à bien des égards celles de leur dauphin au classement, et illustrent une fois encore l'avantage énorme du champion sur le reste de la compétition en ce domaine.

Au final, cette saison est tout de même à qualifier de succès pour les poulets phocéens bicéphales qui parviennent à se hisser sur le podium malgré un bilan victoire-défaite largement défavorable.


Evil Empire :

Offense : 744 pts/Week, # 3
Defense : 722.4 pts/Week, # 3
MVP : Pau Gasol, I, 3396.2 pts,  54.78 pts/Game, 4 all stars, 1 MVPs
LVP : Stephen Curry, G, 1228.1 pts, 42.35 pts/Game

On attendait :

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On a eu :

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Pourquoi ont-ils fait Pschiiiitt (puis Ka-Boom ! et enfin Patatras…) :

Pour tous ceux que la question intéresse, la mention "Kevin m'a tuer" tracée en lettres de sang sur les murs de mon bureau constitue indubitablement une solide piste de départ.

Il aura fallu en effet toute la nonchalance du premier choix de la draft et une accumulation de mauvais choix de la part d'un GM dont le niveau de frustration a souvent flirté avec des degrés que nous qualifieront pudiquement de Fukushimesques, pour ensabler définitivement une équipe dont l'effectif global était pourtant le plus talentueux et le plus homogène de la ligue.

Cette qualité générale n'en est d'ailleurs une que sur le papier seulement, puisqu'au moment de la sélection hebdomadaire elle m'a plus souvent été fatale qu'utile. Difficile en effet de faire le tri entre des joueurs dont les niveaux de performances sont tout à la fois comparables et inconstants, et ce d'autant plus lorsqu'ils sont soumis à une série d'influences négatives allant des ennuis physiques aux lubies de coaches cyclothymiques. Une saison entière passée du côté obscur sans jamais arriver à mettre la main sur l'interrupteur aura ainsi eu pour conséquence de transformer quasi systématiquement le KSG en handicap et mon système nerveux en dentelle au point d'Alençon

A noter également que mon équipe et celle du champion en titre ont fonctionné tout au long de la saison  sur le principe des vases communicants (même si la communication s'est principalement faite à sens unique et sur le modèle du siphon), les joueurs de l'ABC Team s'étant fait une spécialité de récolter leur moisson de points au dépends des miens. Un effet parasite qui explique notamment mon incapacité chronique à les défaire lors de nos affrontements directs.
 

SPITS :

Offense : 729.6 pts/Week, # 5
Defense : 714.5 pts/Week, # 1
MVP : Kevin Love, I, 3840.35 pts,  60.96 pts/Game, 7 all stars, 4 MVPs
LVP : Brandon Roy, G, 277.85 pts, 34.73 pts/Game

On attendait :

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On a eu :

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Pourquoi ont-ils coulé comme une réplique du Titanic en uranium massif :

Si Sir Alex voit pour une fois lui échapper son strapontin d'éternel second, il ne repart toutefois pas les mains vides puisque le trophée d'équipe la plus malchanceuse de la saison lui a été parachuté sur le crâne dès la fin de la saison régulière (parachuté étant ici à prendre au sens de "confié aux bons soins de la gravité et d'un sac plastique depuis une hauteur conséquente…").

Vainqueur de deux des quatre périodes de la saison, les SPITS semblaient en effet à la mi-parcours, la seule équipe susceptible de pouvoir inquiéter, voire rattraper la locomotive Alésienne. Bâtis sur le même principe d'un super-joueur entouré d'un cinq clairement défini, les Punks de la ligue se permettaient ainsi le luxe d'aligner des performances sur KSG largement au dessus du reste de la compétition. Ils poussaient même le mimétisme avec le leader jusqu'à afficher, comme lui, des statistiques défensives ébouriffantes et échappant à toute logique.

Las, les similitudes s'arrêtent ici, car si le bel édifice de l'ABC Team avait été bâti en respect des normes anti-sismiques, celui des SPITS n'a pas résisté au grand chambardement du All Star Break. Difficile d'ailleurs de dire qui des échanges traumatisants (Felton et Rondo par procuration) ou des blessures à répétition (Gordon, Love, Randolph…) s'est montré le plus dommageable aux ambitions des SPITS.

La trajectoire de l'équipe ressemble au final à une empreinte en négatif de celle des KFC, avec un départ laborieux du aux sévices sexuels infligés par Kurt Rambis au temps de jeu de Kevin Love et une dernière ligne droite à la verticalité digne du vol AF-447.
 

GPL :

Offense : 730.6 pts/Week, # 4
Defense : 760.5 pts/Week, # 5
MVP : Blake Griffin, F, 3621.55 pts,  58.41 pts/Game, 8 all stars, 4 MVPs
LVP : Tyreke Evans, G, 486.65 pts, 30.42 pts/Game

On attendait :
 
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On a eu :

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Pourquoi ne sont-ils jamais parvenus à sortir de l'œuf :

Difficile au vu de la dernière partie de parcours des Gros Poulets, d'imaginer que la vue de leur nom sur le calendrier ait pu constituer une raison de retrouver le sourire pour les GMs adverses pendant les trois quarts de la saison.

Il faut pourtant bien admettre que Manu et le Karma avaient mis les bouchées doubles pour nous faire passer mon analyse post draft et moi-même pour des candidats de choix à l'hospitalisation d'office, empilant les contre performances sur les défaites crève cœur avec un acharnement confinant au masochisme.

Réinventés suite à un échange avec les SPITS dont la plus value s'est vue instantanément démultipliée par le jugement négatif que j'avais osé porter sur celui-ci, les Gallinacées à la corpulence inhabituelle sont, sans transition aucune, passées du rang d'aimable plaisanterie à celui de prétendants au podium, décrochant même le titre de la quatrième période.

Cette oscillation abrupte entre excellence et déception restera d'ailleurs la marque de fabrique d'une équipe qui aura, durant toute la saison, accumulé les défaites d'un cheveu, pardon d'une plume (10 BD) et les premières places sur le podium (6).

Au final, même s'il aura permis aux troupes de Manu de s'extraire de la dernière place du classement,  le sursaut de fin de saison n'aura pas suffi à faire oublier le péché originel d'avoir bâti un effectif sur les bases de la saison passée plutôt que sur celle à venir (à l'image de l'Empire du Mal ou de la FotBR).

 

FotBR :

Offense : 686.69 pts/Week, # 6
Defense : 765.5 pts/Week, # 6
MVP : Amares Stoudemire, F, 3463.55 pts,  51.69 pts/Game, 3 all stars, 0 MVPs
LVP : Brook Lopez, I, 1225.55 pts, 39.53 pts/Game

On attendait :

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On a eu :

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Pourquoi se sont-ils couverts de ridicule (et de plein d'autres truc dégoûtants) :

Pour la deuxième saison consécutive, le champion Rôtisserie sortant semble avoir décidé de focaliser sa saison sur l'aspect "sortant" de l'équation plutôt que sur celui de "champion"

Trahis dès le début de saison par leurs premiers choix de draft (Lopez), achevé par des blessures (Wall) et des trades incongrus (Williams), les Hobbits de la Rôtisserie ont connu le triste privilège d'être la seule équipe véritablement hors course de cette saison.

La faute à un effectif composé dès le départ d'un savant mélange de joueurs plafonnant ou déclinant et  renforcé en cours de route par des spécimens rappelés alors qu'ils étaient en train de creuser au fin fond du trou de la sécurité sociale (Boozer, Bogut, Jamison…).

On peut d'ailleurs dire que la majeure partie de leurs victoires découle plus de l'effondrement de l'adversaire que de leurs performances propres, celles-ci étant d'ailleurs fort mal récompensées lors des rares occasions où elles leur permirent d'atteindre le podium.

Pour conclure, et même s'ils se sont permis le luxe de faire chuter mon équipe de la deuxième marche du podium, les porteurs de l'anneau n'ont jamais réussi à se hisser au niveau des équipes de tête (en témoigne leur 0 pointé en matière de première place du podium).

Ils ont toutefois largement participé à l'animation de la saison, apportant une touche d'irrationalité et de comique troupier aux résultats hebdomadaires en accumulant défaites sur le podium et victoires à la cinquième place.
 

Closing Five

1. The Kodak Moment :
Félicitations à Al Horford qui en sortant son pire score de l'année sur le match le plus important de la saison coûte certes la deuxième place à son équipe mais valide dans le même temps la théorie globale d'unification Karmique soutenue depuis des mois par son GM et que l'on peut lapidairement résumer sous l'équation suivante : E.E. = DTC.

2. Le Challenge Domenech :
Au GM de l'Evil Empire qui a réussi à ne sélectionner que 2 matches au dessus de 50 points sur l'ensemble de la semaine. Heureusement pour lui et son équipe, les jeux étant faits depuis plusieurs semaines maintenant, cela n'aura pas eu d'influence néfaste au classement.
Wait, what ?

3. Cogito Urgo Sum :
Au vu de ces dernières semaines, il va bien falloir finir par admettre que les blessures qui ont fait le plus de dégâts cette saison sont celles qui n'ont pas eu lieu. Félicitations donc, à Monta Ellis et ses 54 minutes de jeu par match, à Kevin Martin pour avoir réussi à dissimuler ses prothèses cybernétiques tout au long de la saison et à LaMarcus Aldridge pour son imitation parfaite de Charles Barkley circa 1993...

4. Bienvenue au club :
Et oui même à l'avant dernière semaine, on recrute encore des petits nouveaux : Saluons donc le retour sur les terrains de David Lee tout juste sorti d'un semestre de coma.

5. Ils nous ont quitté :
Contrairement à ce qui avait été annoncé, il semblerait que Devin Harris n'ait pas été transféré aux Utah Jazz mais chez Butagaz à Créteil. C'est sans doute ce qui explique sa disparition soudaine des parquets NBA.

Fermer

 

Publié le 05/04/2011 @ 12:41  - 2 commentaires 2 commentaires - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngSpring Chicken - par SQL

Etant trop occupé à me faire rattraper par les KFC pour plancher sur quelque forme de résumé que ce soit, je vous laisse vous débattre tous seuls avec le closing five de la semaine.

Closing Five

1. The Kodak Moment :
Difficile de passer à côté du match à zéro rebonds de Brook Lopez contre Atlanta. Presque aussi difficile en fait, que pour un basketeur professionnel de plus de 2 mètres de jouer une rencontre entière sans arriver à attraper un putain de ballon.

2. Le Challenge Domenech :
Puisqu'il faudra bien qu'ils en décrochent un cette saison, le Raymond de la semaine vient récompenser les efforts des GPL pour échouer à une phalange de Maurice Herzog du vrai challenge (celui qui compte et qui rapporte des points).

3. Cogito Urgo Sum :
Certes les rhumatismes de Steve Nash coûtent le podium à l'Empire du Mal mais quand on voit ce à quoi les blessures ont réduit son adversaire de la semaine, on ne peut que s'incliner. Pas trop bas non plus, de peur de rester coincé.

4. (re)Bienvenue au club :
A Marcus Thornton qui avec son KSG de la semaine a tenu à rappeler à tout le monde pourquoi il en avait été éjecté la première fois.

5. Ils nous ont quitté :
L'inquiétude grandit du côté des GMs Rôtisserie, sans nouvelle depuis plusieurs semaines de leurs confrères phocéens Michel et Damien. Inquiétude d'autant plus grande qu'ils semblent avoir été remplacés par deux inconnus bien plus efficaces en ce qui concerne la gestion d'une équipe Roto.

Publié le 31/03/2011 @ 10:44  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngPlayoffs ! (so very off...) - par SQL

Vous n'aurez pas manqué de le remarquer, la structuration légèrement obsessionnelle de ma personnalité fait de moi un grand amateur de listes et classements en tous genres. C'est donc à la manière d'un hommage rendu à l'un de mes exemples favoris de cet exercice que je vous livre aujourd'hui ma classification officielle des joueurs Rôtisserie 2011 :

  • A) Jouant pour le meilleur GM du Monde.
  • B) Jouant contre moi.
  • C) Bourrés à l'alcool de grain.
  • D) Atteints de désordres sensori-moteurs chroniques.
  • E) Amputés des membres antérieurs.
  • F) Vince Carter.

Et puisque ce billet se trouve placé sous le thème des énumérations, je vous informe que la rôtisserie vient juste de rejoindre le reggae, la house-music et les aventures illustrées de Martine sur la liste des expériences nécessitant l'absorption de quantités massives de psychotropes pour être appréciées à leur juste valeur (même si dans ce cas précis, il s'agit, à vrai dire, plus de tolérance que d'appréciation à proprement parler).

Closing Five

1. The Kodak Moment :
La réinstallation (juste "pour tester") de Heroes of Might and Magic V sur mon nouveau PC, m'a permis de trouver la métaphore parfaite pour résumer la semaine de la FotBR . Dans ce jeu de stratégie comme dans la roto version 2011,  un héros un rien puissant (comprenez Diwght Howard) peut à lui seul ou presque mettre en déroute les armées les plus compactes (sans parler d'un ramassis de semi-pros raclés au fond du bidet de l'infirmerie).
A noter qu'à ce jeu là non plus, les Hobbits n'ont pas passé le cap de la troisième édition...

2. Le Challenge Domenech :
KSG = Kris Sucks Greatly...

3. Cogito Urgo Sum :
Les SPITS n'auront pas tout perdu avec la blessure de Kevin Love puisque cette dernière leur permet tout de même d'arracher le maillot noir à pois anthracites de l'équipe la plus maudite du championnat des épaules de leur vainqueur du jour.

4. Bienvenue au club :
A Johann, qui avec sa première place cette semaine, a désormais un pied et neuf dixièmes de l'autre dans le cercle très fermé des doubles champions Rôtisserie. Les clés sont sous le paillasson et il y a de la bière au frigo, n'oublie pas d'éteindre la lumière en sortant.

5. Ils nous ont quitté :
Suite à une plainte déposée par un association de consommateurs, l'équipe d'Alain s'est vue condamnée pour tromperie sur la marchandise et contrainte de retirer toute référence au jeu de Basketball de son nom.

Publié le 19/03/2011 @ 07:18  - 1 commentaire 1 commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngLa fin du commencement - par SQL

Et pour emprunter à ce bon vieux Sir Winston une autre de ses citations fameuses, vous pouvez être certain que la sueur, le sang et les larmes seront également au rendez vous pour la suite.
Pour tenter de me défaire la subjectivité inhérente qui s'attachait à mon habituel bilan karmique de fin de période telle un facehugger en mal d'affection, j'ai décidé de conclure la saison régulière en vous livrant une série de fait bruts, sans commentaire particulier, et qui devraient permettre à chacun de se faire une idée précise des mécanismes qui président aux réussites relatives des différentes équipes.
Sans chercher à en déflorer le mystère par avance, vous constaterez que les chiffres s'accordent sur le fait qu'il est difficile de freiner l'avancée du meilleur effectif de la ligue lorsque celui-ci est propulsé en permanence par une remorque chargée des 18 tonnes de nouilles qui lui débordent du postérieur...

La saison régulière en choffres

Rapport définitif sur la question par SQL, commissionner
 
1. KO - Podium :
  • 75 % (6 sur 8) des podiums des GPL sont des premières places. Ils ont par ailleurs perdu les deux autres rencontres.
  •           La FotBR compte 3 défaites sur le podium pour seulement 2 victoires et 4 victoires quand elle termine à la cinquième place.

  •  Les adversaires de la FotBR et des KFC finissent sur le podium dans 60 % des cas (12/20) contre seulement 40 % pour ceux de la ABC Team.
  • La ABC Team a rencontré 6 fois l’équipe ayant terminé sixième de la semaine, ce qui représente 50 % de ses succès.
  • Les GPL ont eu la malchance de croiser 5 fois la route de la meilleure équipe de la semaine alors que ce ne fut que 2 fois le cas pour la ABC Team.
  • En moyenne, la ABC Team marque 7 points de plus que nécessaire pour accéder à la troisième place du podium. Toutes les autres équipes se situent au minimum à 9 points de cette dernière.
2. Profits et pertes :
  • Les KFC encaissent  en moyenne 30 points de plus par semaine que les autres équipes Rôtisserie et 55 points de plus que les premiers au classement.
  • Les KFC sont également les spécialistes des matches serrés et inscrivent en moyennent 61.7 pts de moins que leurs vainqueurs et 54.2 de plus que les équipes qu'ils battent. En revanche, l'Empire du Mal est l'antidote au suspense avec des écarts supérieurs à 113 points dans la victoire comme dans la défaite.
  • La ABC Team a inscrit 988 pts de plus que ses adversaires cumulés, la FotBR 1197 de moins.
  • Les KFC ont enregistré la meilleure (126.2) et la pire (-10.45) performance de la saison grâce à deux joueurs de la même équipe (James et Wade respectivement).
  • Deux équipes (les SPITS et les GPL) sont parvenues à passer de la dernière place lors d'une période à la première lors de la suivante. Les SPITS sont également la seule équipe à avoir obtenu le titre de la période à deux reprises.
3. Schedule, dull, dull :
  • 61 matches ont été programmés contre les Cavaliers (4,80% des rencontres) contre seulement 27 contre les Spurs (2.13%).
  • Aucun KSG n'a été programmé contre Utah alors que 10 l'ont été contre Houston.
4. Le KSG, cet inconnu  :
  • Contre toute logique, la ABC Team est l'équipe qui poste la plus mauvaise moyenne sur KSG (83.71 pts) juste devant l'E.E. (mais là c'est parfaitement logique).
  • Les SPITS sont la seule équipe à présenter une moyenne sur KSG supérieure à 100 (101.95).
  • 50 % des KSG des GPL ont rapporté plus de 100 pts contre seulement 15 % en dessous de la barre des 70 pts. Ce qui est de loin le meilleur ratio de la ligue.
  • En moyenne les KSG cumulés représentent 12 % du total de points des équipes (entre 11 et 14 selon les cas) ce qui laisserait penser qu'ils pénalisent plus souvent qu'ils n'avantagent les équipes si on considère qu'il pèsent 13% du total des matches.
5. Aberrations statistiques diverses :
  • Les KFC ont remporté plus de 50 % des challenges disponibles. (mais je suis sur que vous l'aviez déjà remarqué).
  • De toutes les équipes Roto, seule  la FotBR présente un bilan W/L négatif.
  • L'Evil Empire est l'équipe la plus adroite dans toutes les catégories statistiques FG (50%), 3P (37%) et FT (85%).

Closing Five

1. The Kodak Moment :
Est-il nécessaire de souligner la pointe d'ironie (au sens dévoyé du terme) qui accompagne le résultat négatif de Devin Harris en rappelant que son GM a insisté par courrier pour que ce matche que j'avais omis de saisir figure sur la feuille de saisie...

2. Le Challenge Domenech :
Pour la deuxième fois consécutive, l'Empire du Mal laisse filer le titre de la période en s'inclinant contre leur rival direct pour ce dernier. On peut dire ce qu'on veut du Karma, mais il a au moins le mérite d'avoir de la suite dans les idées.

3. Cogito Urgo Sum :
Avec pas moins de trois joueurs (dont un sur KSG) qui ont terminé un match à l'infirmerie mais sans aucun DNP, cette semaine de l'Empire du Mal me servira sans aucun doute de pièce à conviction principale quand viendra le temps de défendre l'abandon de la règle de remplacement des matches en cours de jeu.

4. Bienvenue au club :
Preuve indiscutable de la compétitivité et de l'excellence de notre ligue, cette saison encore la totalité des équipes Rôtisserie se sont qualifiées pour les playoffs.

5. Ils nous ont quitté :
Voilà maintenant deux semaines que nous sommes sans nouvelles de la Manu Curse qui a disparu lors d'un échange avec les KFC. Au moment de sa disparition elle portait un bob Ricard et une couche culotte pleine. Si vous la croisez, merci de la rapporter immédiatement à son propriétaire. Forte récompense (promise par l'association des Gms Rôtisserie à la quasi unanimité)

Publié le 16/03/2011 @ 08:58  - 7 commentaires 7 commentaires - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngA close Shave - par SQL

Il y a quelque chose de profondément paradoxal à ce que l'édition la plus excitante en terme de course au titre de l'histoire de la roto, soit également celle qui suscite le moins d'intérêt, voire le plus de répulsion de la part des différents participants.
Pour ne m'attarder que sur mon exemple personnel, je ne parviens à tolérer le degré extrême de frustration et d'incertitude généré par le système actuel qu'en ignorant totalement et délibérément toute l'actualité de la NBA durant la semaine.
Si cette tactique me permet de vivre des journées sereines sans crainte de les voir gâchées par un KSG mal placé ou un triple double oublié, elle a pour désavantage de me couper totalement de ce qui fait le véritable intérêt du jeu, le vidant de sa substance et des sensations qu'il est supposé générer. Autre dommage collatéral, il m'est devenu quasi impossible de produire un résumé digne de ce nom, du fait de ma méconnaissance totale des aléas de la semaine écoulée.
Ce dernier point explique autant que les difficultés matérielles et les problèmes organisationnels, la pauvreté de ma production actuelle et la raison pour laquelle vous devrez vous contenter d'un simple Closing Five pour solde de tout compte, malgré une semaine qui restera comme une des plus riches de l'histoire de la ligue en matière de rebondissements et de surprises...


Closing Five

1. The Kodak Moment :
Rattrapés puis dépassés lors de la dernière soirée par des GPL revenus de nulle part, les SPITS découvrent une fois encore qu'il est plus facile de nourrir d'amers regrets que des poulets fermiers.

2. Le Challenge Domenech :
Salut à tous c'est la folie ce soir au Stromboli Beach Club avec DJ augustin aux Platines !
On est ensemble jusqu'à 22h30 pour une nuit de délire et de frissons et on attaque tout de suite avec un de mes morceaux fétiches : "Avec le temps" par Léo Ferré !

3. Cogito Urgo Sum :
La blessure de Stephen Jackson pénalise d'autant plus sa nouvelle équipe qu'elle ne s'est pas produite avant qu'il ait eu le temps de jouer son match de la semaine.

4. Bienvenue au club :
A Al Jefferson qui retrouve, 2 ans après l'avoir perdue pour cause d'un taux trop élevé de polystyrène dans ses rotules, son appellation de Franchise Player contrôlée, garantie 100% sans OGM.

5. Ils nous ont quitté :
Avec son transfert chez les inactifs des GPL, il est plus que probable que le premier choix  du premier draft Rôtisserie ait joué son dernier match dans notre ligue.
En tant que Commissionner, je me devais de saluer cette figure majeure de l'histoire de la Roto, dont la contribution, tant par la qualité de son jeu que par sa personnalité inimitable, laissera une empreinte indélébile dans nos âmes et nos coeurs. Il me vient d'ailleurs à son sujet plusieurs anecdotes inoubliables, telle la fois où il... Ou bien encore quand... Euh...
Quoiqu'il en soit, c'est avec une sincère émotion que je salue la sortie d'un grand monsieur du basket. Nous ne t'oublierons pas, Tom Dunkin !



Publié le 11/03/2011 @ 11:55  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngGhostBusters - par SQL

A l'image des grands vainqueurs de la semaine, le closing five a décidé de se faire discret. On espère son retour en pleine forme dès mardi prochain.

gone_fishing_sign.jpg
Publié le 07/03/2011 @ 09:55  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 

Hall/hallSQL.pngSeventeen Seconds - par SQL

Le titre de ce billet, en plus de faire finement allusion au numéro de la semaine écoulée, est une référence directe à un très bon album des Cure et au temps dont je dispose pour en assurer la rédaction. Je vous propose donc de passer, sans autre forme d'introduction, au coeur du sujet.

Closing Five

1. The Kodak Moment :
Comme moi, je suppose que tous les GMs Rôtisserie auront apprécié de voir des joueurs qui, se complaisant dans la semi médiocrité depuis des semaines sous prétexte de bobos et fatigues diverses, ont enfin choisi de se dépasser à l'occasion d'un match de gala.
Heureusement que Dwight Howard était là pour nous rappeler que certains basketteurs professionnels avaient encore suffisamment d'amour propre pour refuser de se produire gratuitement.

2. Le Challenge Domenech :
Le souci quand on domine tellement la compétition qu'on ne dispose plus d'aucun adversaire à sa mesure, c'est qu'à la longue on finit par s'ennuyer un peu. C'est donc sans aucun doute à dessein, et pour ajouter un peu de piment à son parcours de champion, que le meilleur GM du monde a décidé de relancer la compétition en confiant à Dejuan Blair le KSG d'une semaine où ce dernier représentait à lui seul 20% du total des matches.
Notons que, comme à son habitude, son plan machiavélique fut couronné d'un succès total.

3. Cogito Urgo Sum :
Je profite de l'occasion pour rendre un vibrant hommage à Rudy Gay qui, placé en IR sans relever de blessure, a choisi de se démettre volontairement l'épaule tant son attachement au respect du règlement Rôtisserie et à l'intégrité du jeu est réel et profond.

4. Bienvenue au club :
Bienvenue à Mike Conley qui fait une entrée remarquée dans l'ordre des Chevaliers de la performance totalement aléatoire, inexplicable et très probablement susceptible d'être suivi d'une anthologique gueule de bois (CPTAITPSSAGB pour plus de simplicité).
Il a reçu son intronisation, au terme d'une émouvante cérémonie, des mains mêmes du grand maître de l'ordre, Brandon Jennings.

5. Ils nous ont quitté :
Le Résumé de la semaine. Octobre 2010 - Février 2011. RIP.
Publié le 24/02/2011 @ 11:02  - aucun commentaire aucun commentaire - Voir? Ajouter le votre?   Prévisualiser  Imprimer l'article 
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